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Bandeau général
12/04/2022

Indice de la production de films, d'enregistrements sonore et dans l'édition musicale - Année 2022

Indice de la production de films, d'enregistrements sonore et dans l'édition musicale

Année 2022

Indice de la production de films, d'enregistrements sonore et dans l'édition musicale (référence 100 en 2015)

Période

Indice

Variation mensuelle

Décembre 2022

 121,3 

+ 0,7 % 

Novembre 2022

 122,5 

- 1,5 % 

Octobre 2022

123,6

+ 4,5 % 

Septembre 2022

117,5

 - 8,6 % 

Août 2022

 128,9 

+ 5,4 % 

Juillet 2022

119,9

 - 4,6 % 

Juin 2022

 125,9 

+ 5,1 % 

Mai 2022

 118,3 

- 3,9 %

Avril 2022

 121,1 

+ 2,4 %

Mars 2022

 116,4 

 + 3,3 % 

Février 2022

 113,5 

- 2,3 %

Janvier 2022

116,2

- 3,0 %


Source : Indice de production dans les services – Décembre 2022 (insee.fr)

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12/04/2022

Indice de la production dans l'édition - Année 2022

Indice de la production dans l'édition

Année 2022

Indice de la production dans l'édition (référence 100 en 2015)

Période

Indice

Variation mensuelle

Décembre 2022

121,0

+ 1,4 % 

Novembre 2022

 118,0 

 - 3,0 % 

Octobre 2022

122,2

 - 1,1 % 

Septembre 2022

124,0

 - 0,7 % 

Août 2022

 123,7 

 + 0,3 % 

Juillet 2022

 125,0 

 + 4,7 % 

Juin 2022

 119,8 

 + 5,1 % 

Mai 2022

112,7

- 2,6 %

Avril 2022

 116,1 

 - 3,3 % 

Mars 2022

 120,1 

 - 0,1 % 

Février 2022

122,8

 + 4,2 % 

Janvier 2022

118,4

- 1,8 %


Source :
 Indice de production dans les services – Décembre 2022 (insee.fr)

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12/04/2022

Indice de la production dans les activités d'architecture et d'ingénierie - Année 2022

Indice de la production dans les activités d'architecture et d'ingénierie

Année 2022

Indice de la production dans les activités d'architecture et d'ingénierie (référence 100 en 2015)

Période

Indice

Variation mensuelle

Décembre 2022

 128,3 

- 3,3 % 

Novembre 2022

 135,6 

+ 0,2 % 

Octobre 2022

134,8

 + 1,4 % 

Septembre 2022

 133,5 

 + 0,9 % 

Août 2022

 132,5 

 + 1,9 % 

Juillet 2022

128,6

 - 0,3 % 

Juin 2022

 127,8 

 - 0,1 % 

Mai 2022

128,9

- 0,3 %

Avril 2022

 129,1 

 - 1,6 % 

Mars 2022

 131,0 

 + 2,0 % 

Février 2022

127,9

 + 3,9 % 

Janvier 2022

118,9

- 0,2 %


Source :
Indice de production dans les services – Décembre 2022 (insee.fr)

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12/04/2022

Indice de la production dans les activités juridiques et comptables – Année 2022


Indice de la production dans les activités juridiques et comptables

Année 2022


Indice de la production dans les activités juridiques et comptables (référence 100 en 2015)

Période

Indice

Variation mensuelle

Décembre 2022

 125,2 

 + 0,0 % 

Novembre 2022

 126,8 

 + 0,5 % 

Octobre 2022

 123,3 

 - 6,7 % 

Septembre 2022

 129,2 

 + 2,4 % 

Août 2022

 126,4 

+ 0,1 %

Juillet 2022

 129,6 

 - 2,7 % 

Juin 2022

 128,1 

 + 1,4 % 

Mai 2022

126,0

  0,0 %

Avril 2022

 126,3 

- 0,9 %

Mars 2022

129,0

 + 0,2 % 

Février 2022

 128,3 

 + 1,5 % 

Janvier 2022

125,3

+ 0,4 %


Source : Indice de production dans les services – Décembre 2022 (insee.fr)

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12/04/2022

Indice de la production dans les activités vétérinaires - Année 2022


Indice de la production dans les activités vétérinaires

Année 2022

Indice de la production dans les activités vétérinaires (référence 100 en 2015)

Période

Indice

Variation mensuelle

Décembre 2022

 130,4 

 - 0,9 % 

Novembre 2022

 131,8 

 - 0,5 % 

Octobre 2022

132,5

 - 1,1 % 

Septembre 2022

 134,8 

 - 0,5 % 

Août 2022

135,7

 + 1,3 % 

Juillet 2022

132,6

- 2,4 %

Juin 2022

 137,8 

 + 0,4 % 

Mai 2022

138,3

+ 0,6 %

Avril 2022

 136,5 

 - 1,5 % 

Mars 2022

 139,4 

 - 0,4 % 

Février 2022

 140,5 

 - 0,4 % 

Janvier 2022

141,1

+ 0,3 %


Source : Indice de production dans les services – Décembre 2022 (insee.fr)

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11/04/2022

Indication géographique : valoriser un savoir-faire

Les indications géographiques artisanales et industrielles permettent de protéger un produit bénéficiant d'un savoir-faire local. Quels sont les avantages de cette protection ? Existe-t-il une reconnaissance à l'échelle européenne ? Réponses…


Propriété industrielle : pourquoi obtenir une indication géographique ?

Il existe plusieurs dispositifs permettant aux professionnels de protéger leur savoir-faire (dépôt de marque, brevet, etc.), parmi lesquels figure l'indication géographique (IG).

Pour mémoire, l'IG se distingue de l'indication géographique protégée (IGP), destinée à protéger les produits naturels, agricoles et viticoles au niveau européen. L'IG est un dispositif français, qui s'adresse à tous les produits manufacturés, artisanaux, et aux ressources naturelles.

Celle-ci permet d'associer un produit emblématique à un savoir-faire local traditionnel (porcelaine de Limoges, grenat de Perpignan, granit de Bretagne, etc.) pour :

  • assurer la provenance et la qualité d'un produit au consommateur, lorsqu'il l'achète dans un commerce ou sur internet ;
  • promouvoir les producteurs locaux ;
  • pérenniser des savoir-faire locaux et ainsi, maintenir les emplois dans la zone géographique concernée, développer des formations spécifiques, etc.

De plus, l'indication géographique permet :

  • d'obtenir un droit de propriété industrielle donnant ainsi la possibilité d'interdire l'usage de l'appellation aux professionnels qui ne respectent pas le cahier des charges et donc, le processus de fabrication du produit ;
  • de bénéficier d'un outil de promotion des produits efficace.

Pour le moment, il n'existe pas de dispositif identique à l'échelle de l'Union européenne en raison de la diversité des systèmes juridiques des Etats membres.

Toutefois, un consensus est sur le point d'être trouvé et permettra de faire reconnaitre les indications géographiques artisanales et industrielles nationales au niveau européen. Affaire à suivre…

Source : Actualité du site de l'INPI

Indication géographique : valoriser un savoir-faire © Copyright WebLex - 2022

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11/04/2022

ICPE : optimiser sa consommation d'eau

De nouvelles dispositions sont mises en place, depuis le 4 avril 2022, pour favoriser une meilleure gestion de l'eau dans les installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE). Lesquelles ?


ICPE et consommation d'eau : de nouvelles obligations

Les installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) font l'objet d'une règlementation stricte en raison des risques qu'elles représentent pour la santé et l'environnement.

Dans ce contexte, de nouvelles dispositions viennent ajuster les mesures relatives aux prélèvements et à la consommation d'eau de ces installations, ainsi qu'à leurs diverses émissions.

Ainsi, lors de la conception ou de l'exploitation des ICPE, les exploitants doivent prendre toutes les dispositions nécessaires pour permettre :

  • l'utilisation efficace, économe et durable des ressources en eau (recyclage et réutilisation des eaux usées, utilisation des eaux de pluies, etc.) ;
  • la limitation des émissions de polluants dans l'environnement ;
  • le respect des valeurs limites d'émissions pour les substances polluantes ;
  • la gestion des effluents et déchets en fonction de leurs caractéristiques et la réduction de leur quantité ;
  • la prévention d'émission ou de déversement de substances dangereuses pour la santé, la sécurité, l'agriculture, l'environnement et les paysages, la protection de la nature, etc.

En outre, les exploitants d'ICPE doivent également :

  • maintenir leurs locaux propres pour éviter l'accumulation de matières ou poussières dangereuses ou polluantes ;
  • avoir des canalisations étanches, curables et résistantes lorsqu'elles sont destinées au transport de fluides insalubres ou aux collectes d'effluents pollués ;
  • veiller à l'entretien convenable de ces mêmes canalisations et à la réalisation d'examens périodiques ;
  • installer des réseaux de collecte d'eaux polluées permettant leur évacuation vers les traitements appropriés ;
  • établir un schéma de tous les réseaux et égouts, mis à jour régulièrement ;
  • ne pas établir de liaisons directes entre les réseaux d'eaux pluviales non polluées et les réseaux d'effluents pollués ;
  • etc.

Enfin, notez que ces dispositions applicables depuis le 4 avril 2022, ne concernent pas certaines installations pouvant faire l'objet d'une règlementation plus spécifique en fonction de leur activité (installations de stockage de liquide inflammable en réservoirs aériens, certaines installations de gestion de déchets, certaines installations soumises à autorisation, etc.).

Source : Arrêté du 28 février 2022 modifiant l'arrêté du 2 février 1998 relatif aux prélèvements et à la consommation d'eau ainsi qu'aux émissions de toute nature des installations classées pour la protection de l'environnement soumises à autorisation

ICPE : l'eau c'est précieux ! © Copyright WebLex - 2022

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11/04/2022

ICPE : renforcer la prévention des risques accidentels

De nouvelles mesures sont mises en place pour renforcer la prévention des risques accidentels au sein des installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE). Lesquelles ?


ICPE : comment renforcer la sécurité ?

Les installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) représentent un risque important pour la santé, la sécurité et la salubrité publiques ainsi que pour l'agriculture, la protection de la nature, l'environnement et les paysages, la conservation des sites, etc.

Afin de renforcer la prévention des risques accidentels liés à leurs activités, les exploitants sont soumis à de nombreuses obligations. A partir du 4 avril 2022, des mesures sont ajoutées pour renforcer cette prévention concernant, notamment :

  • les règles parasismiques applicables à certaines installations ;
  • la protection des installations contre la foudre : modalités de réalisation d'une analyse des risques liés à la foudre à compter du 1er septembre 2024, modalités de vérification des dispositifs de protection à compter du 1er septembre 2026, etc. ;
  • la limitation des conséquences des pertes de confinement (fuite de substances dangereuses ou polluantes, écoulement dans la nature des eaux utilisées pour l'extinction d'un incendie, etc.) : caractéristiques des réservoirs de stockage de certaines substances, modalités de récupération des produits en cas d'accident, modalité de gestion des eaux utilisées pour l'extinction d'un incendie, etc. ;
  • les équipements électriques utilisant l'énergie photovoltaïque.

En outre, de nouvelles dispositions ont également été ajoutées aux mesures de prévention générales des risques obligeant, par exemple, les exploitants à :

  • identifier les zones pouvant être à l'origine d'incendie ou d'explosion au sein de l'installation et à les retranscrire sur un plan, mis à jour régulièrement. De plus, ils doivent également notifier la nature des risques à l'entrée de chaque zone ;
  • mettre en place des process permettant d'assurer le fonctionnement de l'installation en toute sécurité ;
  • installer un réseau de détecteurs, notamment dans les zones identifiées comme pouvant être à l'origine d'un incendie ou d'une explosion ;
  • mettre en place une surveillance de l'installation, assurer la formation du personnel et l'informer des consignes d'exploitation et de sécurité par le biais d'affichage ;
  • contrôler les accès aux installations et donner un accès limité aux personnes qui ne font pas partie du personnel ;
  • mettre en place tous les moyens permettant de prévenir les accidents lors de la réalisation de travaux sur les installations, notamment en ce qui concerne l'utilisation de matériel pouvant produire du feu ;
  • prendre toutes les dispositions nécessaires à la prévention des risques d'accident en cas d'arrêt d'un équipement (réservoirs, cuves, tuyauteries, etc.) ;
  • etc.

Enfin, notez également que certaines dispositions applicables dans la gestion des risques des installations dites « Seveso » (c'est-à-dire les sites industriels présentant un risque technologique majeur) sont intégrées à la règlementation sur la prévention des accidents majeurs dans les ICPE.

Pour plus de détails, vous pouvez retrouver l'intégralité de ces dispositions ici.

Source : Arrêté du 28 février 2022 modifiant l'arrêté du 4 octobre 2010 relatif à la prévention des risques accidentels au sein des installations classées pour la protection de l'environnement soumises à autorisation, l'arrêté du 26 mai 2014 relatif à la prévention des accidents majeurs dans les installations classées mentionnées à la section 9, chapitre V, titre Ier du livre V du code de l'environnement et l'arrêté du 5 février 2020 pris en application de l'article L. 111-18-1 du code de l'urbanisme

ICPE : mieux vaut prévenir que guérir ! © Copyright WebLex - 2022

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11/04/2022

Utilisation conjointe d'un bien immobilier : qui paie la CFE ?

Une société, propriétaire d'un ensemble immobilier, demande à réduire le montant de sa cotisation foncière des entreprises, certains des terrains et aménagements composant cet ensemble étant utilisés conjointement par elle-même et par des entreprises tierces. Une demande rejetée par l'administration fiscale. Pourquoi ?


Utilisation conjointe ne veut pas dire perte de contrôle…

Une société est propriétaire d'un ensemble immobilier qui comporte plusieurs bâtiments. Elle en utilise une partie et loue l'autre partie à des entreprises tierces.

Ce même ensemble immobilier comporte des terrains et des aménagements qui, bien que non compris dans les contrats de location, sont utilisés conjointement par la société et ses locataires.

Une situation qui lui permet de demander, et d'obtenir, une réduction du montant de sa cotisation foncière des entreprises (CFE), estime la société.

« Non », conteste l'administration fiscale, qui refuse d'accéder à sa demande et indique :

  • que l'utilisation conjointe des terrains et aménagements, ainsi que la refacturation de frais de gestion et d'entretien de ces biens, n'a pas pour effet de restreindre le contrôle qu'exerce la société sur les biens en cause ;
  • que les terrains et aménagements ne constituent pas l'accessoire des bâtiments loués.

Des éléments suffisants pour établir que la société dispose en totalité des terrains et aménagements… qui doivent donc être pris en compte pour le calcul de sa CFE.

Ce que confirme le juge.

Source : Arrêt de la Cour administrative d'appel de Nancy du 20 janvier 2022, n°20NC03269

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11/04/2022

Couple d'agriculteurs et TVA : et si chacun exerce une activité de façon indépendante ?

Des conjoints qui exercent de façon indépendante une activité agricole au sein de la même exploitation peuvent-il être considérés comme des « assujettis distincts » à la TVA ?


1 couple = 2 assujettis à la TVA ?

Dans le cadre d'un litige opposant un couple d'agriculteurs à l'administration fiscale, il a été demandé au juge si des conjoints qui exercent une activité agricole dans le cadre d'une même exploitation, avec des biens appartenant à la communauté conjugale, peuvent être considérés comme des assujettis distincts à la TVA.

Sa réponse est positive. Dès lors qu'ils exercent une activité économique de façon indépendante, en leur propre nom, pour leur propre compte et sous leur propre responsabilité, chacun des conjoints peut être considéré comme un assujetti distinct à la TVA.

Pour mémoire, un « assujetti » à TVA est une personne qui réalise une vente de biens ou de marchandises, ou une prestation de services, à titre onéreux, dans le cadre d'une activité économique exercée de manière indépendante : schématiquement, comme cette personne facture des ventes ou des prestations avec TVA (qu'elle collecte pour le compte de l'administration fiscale), elle est autorisée à récupérer la TVA que lui facturent ses propres fournisseurs.

Source : Arrêt de la Cour de justice de l'Union européenne du 24 mars 2022, n°C-697/20

Couple d'agriculteurs et TVA : pour le meilleur… et pour le pire ? © Copyright WebLex - 2022

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11/04/2022

Investir dans des crypto-actifs : la vigilance est de mise

De plus en plus de particuliers investissent dans des crypto-actifs. Mais, ce secteur étant encore peu régulé, il existe de nombreuses arnaques. C'est pourquoi l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACRP) tient à jour une liste noire de sites Web à éviter…


Mise à jour de la liste noire des sites Web d'investissements en crypto-actifs

L'Autorité des marchés financiers (AMF) et l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) tiennent une liste noire de sites Web identifiés comme proposant des investissements sur le marché des changes non régulé (Forex) et sur des produits dérivés dont le sous-jacent est constitué de crypto-actifs, sans y être autorisés.

Cette liste noire vient de faire l'objet d'une mise à jour.

Pour rappel, pour s'assurer que l'intermédiaire qui propose des produits ou services financiers est autorisé à opérer en France, il faut consulter :

Source : Actualité de l'ACPR du 30 mars 2022

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11/04/2022

Loyauté et non-concurrence : quelle différence ?

Dans le cadre d'un contrat de travail, quelles sont les limites entre une clause de loyauté et une clause de non-concurrence ? Réponse du juge…


« Chaque chose en son temps »…

Un employeur peut prévoir une clause de non-concurrence dans un contrat de travail, dès lors que le salarié en est informé et qu'il y a consenti. Cette clause, qui est strictement encadrée, ne commence à s'appliquer qu'à la fin du contrat de travail, ce qui la distingue de l'obligation de loyauté à laquelle le salarié est soumis pendant l'exécution de son contrat.

C'est ce qu'est venu rappeler un employeur à l'occasion d'une récente affaire dans laquelle un de ses salariés lui réclamait une indemnisation au titre d'une clause lui interdisant, au cours de ses missions, de solliciter un client en vue de négocier une éventuelle embauche.

Pour le salarié, en effet, cette clause s'apparentait à une clause de non-concurrence déguisée.

Mais pas pour le juge, pour qui cette clause, qui exigeait une loyauté de la part du salarié, s'appliquait uniquement pendant la durée du contrat de travail et a pris fin lors de la rupture de ce dernier. La demande d'indemnisation du salarié est donc rejetée.

Source : Arrêt de la Cour de cassation, chambre sociale, du 30 mars 2022, n°20-19892

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