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01/04/2022

Immersion en entreprise : une nouvelle campagne de promotion

Afin de permettre aux personnes les plus éloignées de l'emploi de se remettre en activité le plus tôt possible, le Gouvernement a lancé, récemment, une campagne de promotion du dispositif d'immersion en entreprise auprès des TPE…


Immersion en entreprise : une campagne à destination de secteurs précis

Face aux effets bénéfiques de l'immersion en entreprise, une campagne est lancée afin de développer un recours massif à ce dispositif.

Cette campagne a pour objectif de faire connaître aux TPE, principalement dans les secteurs en tension (industrie, commerce, hôtellerie-restauration, etc.), les possibilités qu'offre ce système. Un lien devrait notamment être assuré avec Pôle emploi, afin que des profils de demandeurs d'emploi soient proposés aux entreprises intéressées.

Notez qu'afin de faciliter le référencement des entreprises intéressées par ce dispositif, une plateforme a été créée, que vous pouvez retrouver ici.

Source : Communiqué de presse du ministère du Travail, du 17 mars 2022

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01/04/2022

Associations : toujours exonérées d'impôts ?

Le seuil de la franchise permettant aux associations à but non lucratif exerçant une activité lucrative accessoire d'échapper aux impôts commerciaux est revalorisé. A combien est-il fixé pour 2022 ?


Franchise des impôts commerciaux : le seuil 2022

En principe, les associations à but non lucratif échappent aux impôts commerciaux, à condition de remplir les critères de non-lucrativité.

Toutefois, à côté de leur activité non lucrative, certaines peuvent exercer une activité lucrative dite accessoire. Dans cette hypothèse, elles pourront tout de même échapper aux impôts commerciaux (impôt sur les sociétés, TVA et contribution économique territoriale) si les revenus tirés de l'activité lucrative accessoire n'excèdent pas une limite fixée à 73 518 € pour 2022.

Rappelons que pour bénéficier de cette franchise, les associations concernées doivent remplir les conditions suivantes :

  • leur gestion doit être désintéressée ;
  • leurs activités non lucratives doivent rester significativement prépondérantes ;
  • le montant des recettes d'exploitation encaissées au cours de l'année civile provenant des activités lucratives accessoires ne doit pas dépasser 73 518 €.

Source : Actualité Bofip-Impôts du 23/03/2022

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01/04/2022

C'est l'histoire d'un dirigeant qui reçoit, non pas 1, mais 2 inspecteurs des impôts...



C'est l'histoire d'un dirigeant qui reçoit, non pas 1, mais 2 inspecteurs des impôts...


En plus du contrôle de son entreprise, le gérant d'une EURL reçoit un avis de contrôle l'informant d'un prochain contrôle, à titre personnel cette fois. Au cours du 1er rendez-vous, le vérificateur chargé de son contrôle personnel est accompagné du vérificateur en charge, lui, du contrôle de l'EURL…


Un « accompagnateur » dont il n'a pas été informé de la visite, conteste le gérant pour qui cette présence est irrégulière, l'avis de contrôle étant muet sur ce point. Et parce que le contrôle s'est finalement conclu par un redressement fiscal, il en réclame l'annulation. Sauf que rien ne l'oblige à mentionner sur l'avis de contrôle le nom des agents qui seront chargés du contrôle, estime l'administration ; et un vérificateur peut venir accompagné d'un collègue qualifié pour effectuer le contrôle, ajoute-t-elle…


Ce que confirme le juge pour qui la présence d'un 2nd agent lors du 1er rendez-vous de contrôle n'est pas irrégulière, et n'invalide donc pas le redressement fiscal qui s'en suit…




Arrêt du Conseil d'Etat du 24 avril 2019, n° 408479

La petite histoire du jour



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31/03/2022

Déchets et biodéchets : une collecte conjointe (im)possible ?

En principe les biodéchets devant faire l'objet d'un tri à la source ne peuvent être mélangés avec d'autres déchets. Toutefois, une dérogation est mise en place pour certains déchets et emballages. Lesquels ?


Quels déchets peuvent être collectés avec les biodéchets ?

Les déchets composés majoritairement de biodéchets doivent être triés à la source en vue d'une valorisation sur place ou d'une collecte séparée pour permettre leur valorisation. Ainsi, ils ne peuvent pas, en principe, être mélangés avec d'autres déchets.

Toutefois, une dérogation a été mise en place pour permettre une collecte et une valorisation conjointes de certains déchets avec ces biodéchets triés à la source, tels que :

  • les sacs de collecte de ces biodéchets, composés de papier ou carton uniquement, ou composés de plastique avec éventuellement une partie en papier ou en carton ;
  • les filtres à café et les sachets de thé ou tisane lorsqu'ils sont en papier (avec leur contenu) ;
  • les essuie-tout, serviettes et mouchoirs en papier ;
  • les capsules et dosettes de café composées à 95 % de papier ;
  • les déchets organiques ménagers (fleurs fanées, cheveux, ongles, plumes et poils d'animaux de compagnie).

Vous pouvez retrouver plus de précisions concernant la composition exacte de ces déchets ici. Enfin, notez que l'ensemble de ces dispositions sont applicables depuis le 24 mars 2022.

Source : Arrêté du 15 mars 2022 listant les emballages et déchets compostables, méthanisables et biodégradables pouvant faire l'objet d'une collecte conjointe avec des biodéchets ayant fait l'objet d'un tri à la source

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31/03/2022

Secteur de la pêche : bénéficier d'une aide financière avant qu'il ne soit trop tard !

FranceAgriMer est en charge d'un programme de soutien financier pour des projets d'investissements dans le domaine de la transformation et de la commercialisation des produits de la pêche. Pour obtenir cette aide, il faut déposer son dossier rapidement…


Bénéficier d'une aide financière délivrée par FranceAgriMer

Depuis le 11 mars 2022 et jusqu'au 30 avril 2022, il est possible de déposer un dossier pour bénéficier d'une aide pour des projets d'investissements (matériels ou immatériels) dans les ports de pêche, les halles à marée et les sites de débarquement, ainsi que dans le domaine de la transformation et de la commercialisation des produits de la pêche et de l'aquaculture.

Sont notamment éligibles les investissements contribuant à :

  • améliorer la qualité, le contrôle ou la traçabilité des produits débarqués ;
  • et/ou améliorer l'efficacité énergétique ou la protection environnementale, la sécurité ou les conditions de travail ;
  • et/ou faciliter le respect de l'obligation de débarquer toutes les captures et la valorisation de leur partie sous-utilisée.

Source : Actualité de FranceAgriMer

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30/03/2022

Paiement sans contact = vol sans contact

Quand un particulier se fait voler sa carte bancaire, il peut procéder à une opposition bancaire pour protéger ses comptes. Mais cette opposition est-elle vraiment efficace quand la carte volée autorise le paiement sans contact ?


Vol d'une carte autorisant le paiement sans contact : un risque limité ?

Lorsqu'un particulier fait opposition suite au vol de sa carte bancaire, la fonctionnalité autorisant le paiement sans contact continue à rester active plusieurs jours.

Malgré ce désagrément, le gouvernement n'envisage pas de renforcer la réglementation. Il rappelle, en effet :

  • que le paiement est plafonné à 50 € par jour ;
  • qu'une vérification intervient systématiquement à l'issue d'un montant de paiement cumulé fixé par les banques (généralement entre 70 € et 150 €) ;
  • que le titulaire de la carte volée dispose de 13 mois pour contester les transactions non autorisées.

Source : Réponse ministérielle Cordier, Assemblée Nationale, du 22 mars 2022, n° 41409

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30/03/2022

Responsabilité élargie du producteur : comment obtenir son identifiant unique (IDU) ?

Les producteurs soumis au principe de responsabilité élargie du producteur (REP) doivent obligatoirement avoir un identifiant unique fourni par les services de l'ADEME. Quels sont les démarches à effectuer pour l'obtenir ?


REP et identifiant unique : quelles sont les modalités d'enregistrement ?

Les producteurs soumis aux obligations découlant du principe de responsabilité élargie des producteurs (REP) doivent s'inscrire auprès de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) pour obtenir leur identifiant unique (IDU).

Celui-ci permet au producteur de prouver qu'il est bien enregistré au registre pour une filière et permet également à l'ADEME de contrôler plus facilement le respect des obligations liées à la REP.

Cet enregistrement se fait via le portail SYDEREP V1 ou SYDEREP V2 en fonction de la filière qui vous concerne.

Les informations devant être transmises sont, notamment :

  • l'identité du producteur : son numéro SIREN ou SIRET, sa raison sociale, son numéro de TVA intracommunautaire, etc. ;
  • l'identité de l'éco-organisme auquel il adhère (nom, numéro SIREN ou SIRET) ou la référence de son arrêté d'agrément en cas de mise en place d'un système individuel ;
  • les catégories de produits concernés lorsqu'une filière en comporte plusieurs (à compter du 1er janvier 2023) ;
  • le code de son activité principale (selon la liste des activités françaises) pour les entreprises qui résident en France.

Lorsque le producteur adhère à un éco-organisme, cette démarche doit-être effectuée par ce dernier, qui doit ensuite transmettre l'IDU au producteur.

Enfin, notez que l'identifiant sera transmis par l'ADEME dans un délai de 2 jours après qu'elle a reçu l'intégralité des informations.

Source : Arrêté du 11 février 2022 relatif à l'enregistrement des producteurs soumis à la responsabilité élargie des producteurs

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30/03/2022

Alcool en entreprise : totalement interdit ?

Si les boissons alcoolisées ne sont pas autorisées en entreprise, certaines font exception (bière, cidre, etc.). Est-ce à dire que l'employeur a l'obligation d'accepter ces boissons ou peut-il interdire totalement l'alcool dans son entreprise ?


Alcool en entreprise : reportez-vous au règlement intérieur !

Pour rappel, seuls le vin, la bière, le cidre et le poiré sont autorisés sur le lieu de travail. Les autres boissons alcoolisées sont légalement interdites.

Reste à savoir s'il est possible pour l'employeur d'interdire totalement les boissons alcoolisées, sans exception, dans son entreprise.

Cette question s'est posée dans une récente affaire dans laquelle l'employeur a, dans son règlement intérieur, interdit l'introduction, la distribution ou la consommation de toutes les boissons alcoolisées, au motif que les salariés sont amenés à utiliser des machines dangereuses et à manipuler des produits chimiques, tout en se déplaçant régulièrement dans l'entreprise et en partageant de nombreux locaux.

Un contexte dans lequel une consommation des alcools autorisés par la loi exposerait les salariés à des risques pour leur sécurité, selon l'employeur.

Ce qu'admet le juge, pour qui cette interdiction est justifiée par la nature des tâches à accomplir et proportionnée au but recherché.

Source : Arrêt du Conseil d'État, 1ère - 4ème chambres réunies, du 14 mars 2022, n°434343

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30/03/2022

Prévention de la santé au travail : de nouveaux mécanismes

Afin de rendre la prévention de la santé au travail plus efficiente, le gouvernement a pris de nombreuses mesures, dont certaines viennent d'être précisées. Au programme : les essais encadrés, les rendez-vous de liaison et le projet de transition professionnelle…


Concernant les essais encadrés

L'essai encadré qui doit voir le jour le 31 mars 2022 ne pourra excéder 14 jours (renouvelables dans la limite de 28 jours ouvrables). Il doit permettre au bénéficiaire d'évaluer, pendant son arrêt de travail, la compatibilité d'un poste avec son état de santé, que ce soit dans son entreprise ou dans une autre entreprise.

Cette demande « d'essai » ne pourra être faite qu'après une évaluation globale par le service social dédié, avec l'accord du médecin traitant, du médecin conseil et du médecin du travail assurant le suivi du salarié.

L'administration peut refuser cette demande. Dans ce cas, elle devra justifier ce refus.

Cet essai encadré est ouvert, à leur demande et dès lors qu'ils sont en arrêt de travail, aux :

  • salariés relevant du régime général ;
  • bénéficiaires d'un contrat de mission temporaire ou d'apprentissage ;
  • stagiaires de la formation professionnelle.

Dans le cadre de cet essai, le bénéficiaire est suivi par un tuteur de l'entreprise « d'accueil » et, à l'issue, un bilan est dressé et communiqué aux médecins du travail, aux services sociaux et aux organismes dédiés concernés.

Notez que les bénéficiaires de cet essai encadré ne recevront pas de rémunération de la part de leur entreprise à ce titre, mais percevront une indemnisation journalière de la Sécurité sociale et, le cas échéant, une indemnité complémentaire.

Dans le cas où un accident du travail surviendrait ou une maladie professionnelle serait constatée pendant l'essai encadré, ce sera à l'entreprise concernée par cet essai de réaliser la déclaration de cet accident de travail.


Concernant les rendez-vous de liaison

A compter du 31 mars 2022, l'employeur ou le salarié pourront demander l'organisation d'un rendez-vous de liaison, qui aura pour but d'informer le salarié qu'il peut bénéficier d'actions visant à prévenir la désinsertion professionnelle.

Le salarié pourra refuser de s'y rendre, sans que cela n'entraîne de conséquences particulières.

Il est désormais précisé que la durée de travail à partir de laquelle un rendez-vous de liaison pourra être organisé est fixée à 30 jours.


Concernant le projet de transition professionnelle

Pour mémoire, le projet de transition professionnelle permet à tout salarié de mobiliser son compte personnel de formation (CPF) pour financer une action de formation certifiante, dans le but de changer de métier ou de profession, dès lors qu'il justifie d'une ancienneté minimale.

Toutefois, les salariés qui présentent un handicap ou qui ont changé d'emploi à la suite d'un licenciement (à partir du moment où ils n'avaient pas suivi de formation entre le licenciement et leur nouvel emploi) échappent à cette condition d'ancienneté.

Vont également échapper à cette condition d'ancienneté, à compter du 31 mars 2022, les salariés ayant connu dans les 24 derniers mois avant la demande :

  • une absence en raison d'une maladie professionnelle ;
  • un arrêt de travail de longue durée, d'au moins 6 mois, consécutifs ou non, résultant d'un accident du travail, d'une maladie ou d'un accident non professionnel.

Source : Décret n° 2022-373 du 16 mars 2022 relatif à l'essai encadré, au rendez-vous de liaison et au projet de transition professionnelle

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30/03/2022

Succession de CDD d'usage : possible ?

Une salariée, engagée dans le cadre de 644 CDD d'usage successifs pendant une durée de 16 ans, demande la requalification de ces contrats en CDI… Ce que conteste l'employeur, au vu de la nature et du caractère temporaire de l'activité de la salariée. A tort ou à raison ?


Une possibilité limitée…

Pour rappel, il est possible de conclure un CDD dit « d'usage » pour des emplois où l'usage exclut le recours au CDI en raison de la nature de l'activité et du caractère temporaire de ces emplois.

Toutefois, le recours au CDD ne peut avoir pour objet, ni pour effet, de pourvoir durablement un emploi lié à l'activité normale et permanente de l'entreprise, comme vient d'ailleurs de le rappeler le juge.

Dans cette affaire, une salariée, formatrice dans un centre de formation continue, a été engagée sous 644 CDD d'usage successifs.

Considérant que ses missions ont été effectuées avec régularité et sur un rythme non aléatoire, ces CDD n'avaient pas de caractère temporaire, selon elle, et devaient alors être requalifiés en CDI.

« Non ! », insiste l'employeur, qui rappelle que dans le secteur de l'enseignement, il est tout à fait autorisé de recourir au CDD d'usage. De plus, la date, le lieu et l'objet des formations assurées par la salariée étaient définis suivant les besoins des clients de l'entreprise, de manière aléatoire, ce qui suffit à établir le caractère par nature temporaire des emplois occupés par la salariée.

« Non ! », décide le juge, qui accepte la demande de requalification en CDI : au regard de l'activité liée à la formation continue des salariées du secteur du logement social, de la régularité et du rythme non aléatoire des missions effectuées par la salariée, le recours à l'utilisation successive de CDD d'usage, pendant 16 ans, avait ici pour effet de pouvoir durablement un emploi lié à l'activité normale et permanente de l'entreprise… Ce qui est interdit !

Source : Arrêt de la Cour de cassation, chambre sociale, du 4 novembre 2021, n°20-17859

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30/03/2022

Coronavirus (COVID-19) : aides coûts fixes pour les associations

Jusqu'à présent exclues du bénéfice des aides coûts fixes, les associations vont pouvoir, pendant 2 semaines, bénéficier de 2 aides exceptionnelles. Les dossiers de demande seront donc à déposer rapidement…


Dépôt des dossiers à compter du 14 avril 2022

2 aides exceptionnelles pour la prise en charge des coûts fixes des entreprises sous forme associative ayant subi des pertes d'exploitation importantes seront ouvertes le 14 avril 2022, pour une durée de 2 semaines :

Ces aides sont destinées aux associations ayant connu des difficultés liées à la crise sanitaire durant les mois de janvier à octobre 2021 et/ou durant les mois de décembre 2021 et janvier 2022.

Les demandes d'aide pourront être déposées, par voie dématérialisée, sur le site impots.gouv.fr, à partir du 14 avril 2022. Elles devront être accompagnées d'une attestation d'un expert-comptable.

Source : Dossier du ministère de l'Economie – mars 2022

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29/03/2022

Automobile et responsabilité civile : un nouveau plafond d'indemnisation

Pour permettre une bonne indemnisation des dommages matériels en cas d'accident de la circulation, la responsabilité civile des conducteurs doit prévoir un plafond de couverture minimale, dont le montant vient d'être modifié…


Un plafond d'indemnisation revalorisé

L'assurance de responsabilité civile automobile doit prévoir un plafond de couverture minimale pour permettre l'indemnisation des dommages matériels en cas d'accident de la circulation.

Ces montants sont révisés tous les 5 ans, afin de prendre en compte l'inflation. Ainsi, depuis le 21 mars 2022, le montant maximum de l'indemnisation prévue par les responsabilités civiles automobiles ne peut être inférieur à 1,30 M€ par sinistre, quel que soit le nombre de victimes, contre 1,22 M€ auparavant.

Source : Arrêté du 16 mars 2022 relatif aux plafonds de couverture de l'assurance de responsabilité civile automobile

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