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05/04/2022

Vente de titres pour 1 € symbolique : (a)normal ?

Une société vend des titres qu'elle détient dans une autre société à un prix que l'administration estime être inférieur à leur valeur vénale. Un argument suffisant pour qualifier l'opération « d'acte anormal de gestion », pour l'administration fiscale, qui lui réclame un supplément d'impôt. A tort ou à raison ?


Acte anormal de gestion : il ne faut pas voir le mal partout !

Une société consent au directeur commercial de l'une de ses filiales une promesse de vente de 223 964 actions de cette filiale, au prix de 1 € par action, valable pour 5 ans.

2 ans plus tard, le directeur achète, en application de cette promesse, environ 100 000 actions qu'il revend le jour même à un tiers, pour un prix unitaire de 3 838 €.

Une opération qui attire l'attention de l'administration fiscale, qui estime que cette vente de titres, réalisée, selon elle, à un prix minoré, n'a pas été consentie dans l'intérêt de la société et l'assimile, de fait, à un « acte anormal de gestion ». Elle rehausse donc le bénéfice imposable de la société.

Ce que cette dernière conteste, le prix pratiqué (1 € par action) se justifiant par le fait :

  • qu'elle était tenue par la promesse consentie au directeur commercial de cette filiale, dont elle détenait à l'époque la quasi-totalité des titres ;
  • que le prix convenu était proche de la valeur vénale des titres à la date à laquelle la promesse a été consentie ;
  • qu'elle a pris cet engagement dans son propre intérêt, afin d'inciter le directeur à développer le chiffre d'affaires de cette filiale, en lui permettant d'acheter environ 6 % du capital de cette société à un prix préétabli.

Des arguments suffisants pour convaincre le juge. Puisque l'administration ne prouve pas que la société a commis un « acte anormal de gestion » en concluant, puis en honorant cette promesse, le redressement fiscal est annulé.

Source : Arrêt du Conseil d'Etat du 11 mars 2022, n°453016

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05/04/2022

Contrats d'apprentissage et de professionnalisation : des nouveautés

Afin d'aider les personnes qui rencontrent des difficultés d'insertion et de qualification, le Gouvernement a mis en place une aide financière pour certains groupements d'employeurs, dont les montants sont aujourd'hui précisés…


Des montants d'aides précisés

Pour rappel, les groupements d'employeurs pour l'insertion et la qualification qui organisent l'accompagnement personnalisé vers l'emploi des personnes rencontrant des difficultés d'insertion particulières peuvent bénéficier d'une aide de l'Etat, sous conditions.

Pour pouvoir y prétendre, ils doivent organiser des parcours d'insertion et de qualification dans le cadre de contrats de professionnalisation ou d'apprentissage.

Il est désormais précisé que cette aide peut aller de 814 € à 1 400 €, en fonction de la situation de la personne.

Source : Arrêté du 10 mars 2022 relatif à l'aide de l'Etat prévue par l'article D. 6325-23 du code du travail concernant l'accompagnement personnalisé délivré par les groupements d'employeurs pour l'insertion et la qualification à leurs salariés en insertion

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05/04/2022

Rémunération pour copie privée : une notice vous explique tout !

Lors de l'achat d'un support de stockage (disque dur, MP3, etc.), les consommateurs doivent recevoir une notice permettant de leur expliquer ce qu'est la rémunération pour copie privée, ainsi que ses finalités. Où peut-on la trouver ?


Rémunération pour copie privée : une notice explicative…

Pour mémoire, la règlementation autorise les consommateurs à effectuer la copie d'une œuvre, acquise à partir d'une source licite, pour un usage strictement privé.

Ainsi, une partie du prix d'achat des supports de stockage est reversée aux titulaires de droits d'auteur (auteurs, compositeurs, producteurs, etc.) afin de les indemniser. On appelle cela la rémunération pour copie privée.

Dans le cadre de ces dispositions, les vendeurs de ces supports (disque dur, lecteur MP3, etc.) doivent donner aux consommateurs :

  • le montant de la rémunération propre à chaque support ;
  • la notice explicative relative à cette rémunération et à ses finalités, qui peut être fournie par voie dématérialisée en l'intégrant dans le support.

Cette notice est désormais téléchargeable ici.

Source : Arrêté du 16 mars 2022 modifiant l'arrêté du 24 janvier 2014 relatif à la notice prévue à l'article L. 311-4-1 du code de la propriété intellectuelle

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04/04/2022

Start-up : création d'une charte « Fintech » !

Dans le monde des start-ups qui révolutionnent l'activité économique grâce au numérique, il y a les « Fintech ». L'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) vient de publier une charte qui leur est destinée. Que prévoit-elle ?


L'ACPR publie une charte « Fintech »

Pour rappel, la « Fintech » désigne l'utilisation des technologies pour réinventer les services bancaires et financiers. Son objectif est de proposer des solutions et des services financiers moins coûteux et surtout, de meilleure qualité.

Pour faciliter le parcours d'agrément des start-ups du secteur financier, l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) a élaboré une charte Fintech qui décrit, notamment, ses attentes. Elle est accompagnée de documents pédagogiques expliquant la réglementation applicable.

Source : Actualité de l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution du 24 mars 2022

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04/04/2022

Evaluation environnementale : pour quels projets ?

Une évaluation environnementale est obligatoire dans le cadre de certains projets d'installation, de construction, etc., lorsqu'ils dépassent des seuils règlementaires. Cette obligation s'applique désormais pour d'autres projets. Lesquels ?


Une extension de l'évaluation environnementale

Certains projets, lorsqu'ils dépassent des seuils définis par la loi, doivent faire l'objet d'une évaluation environnementale.

A titre d'exemple, c'est le cas pour les installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE), les installations nucléaires, les infrastructures routières, les travaux, ouvrages et aménagements en zones côtières, etc.

Depuis le 27 mars 2022, un dispositif permet de soumettre à cette même évaluation environnementale les projets qui, bien que situés en dessous des seuils prévus, sont susceptibles d'avoir des incidences importantes sur l'environnement et la santé humaine.

Ceux-ci font donc l'objet d'un examen au cas par cas permettant de déterminer leurs éventuelles répercussions sur l'environnement et la santé, en fonction de plusieurs critères : dimension du projet, production de déchets, pollution et nuisances, localisation du projet, caractéristiques des incidences potentielles, etc.

Enfin, retenez que cet examen peut être fait soit sur demande du préfet, soit sur initiative du maître d'ouvrage.

Source : Décret n° 2022-422 du 25 mars 2022 relatif à l'évaluation environnementale des projets

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04/04/2022

Transport : point d'accès national unique et déclaration de conformité

Les professionnels du transport fournissant les données qui alimentent la plateforme nationale regroupant des informations sur les déplacements et la circulation sur le territoire peuvent être amenés à transmettre aux autorités une déclaration de conformité. Que contient-elle ?


Transport et déclaration de conformité : quel contenu ?

Pour assurer une plus grande mobilité et une meilleure information des voyageurs, la règlementation européenne impose aux Etats membres la mise en place d'un point d'accès national unique.

Celui-ci est disponible via la plateforme https://transport.data.gouv.fr/ et regroupe des données sur les déplacements et la circulation, tout mode de transport confondu, devant être fournies par :

  • les autorités chargées des transports ;
  • les gestionnaires d'infrastructures ;
  • les opérateurs de transport ;
  • les fournisseurs de services de transport à la demande.

Pour s'assurer du respect de cette obligation, les Etats peuvent demander à ces professionnels de leur fournir une déclaration de conformité comportant certaines informations à propos :

  • des modalités d'accès aux données et des conditions de leur utilisation ;
  • du format et de la qualité des données ;
  • des moyens mis en œuvre pour assurer la transparence et la neutralité dans l'utilisation des données ;
  • etc.

Sources :

  • Arrêté du 4 mars 2022 relatif à la déclaration de conformité mentionnée à l'article L. 1115-5 du code des transports
  • Arrêté du 4 mars 2022 relatif aux spécifications techniques pour la mise à disposition des données concernant les déplacements et la circulation

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04/04/2022

Notaire = agent municipal ?

Le notaire va-t-il avoir l'obligation de transmettre aux communes l'identité des acquéreurs d'un bien immobilier, afin de faciliter la tenue des registres municipaux et d'aider à mieux accueillir les nouveaux habitants ? Réponse du gouvernement…


Vers une nouvelle obligation de transmission d'information à la charge des notaires ?

Actuellement, aucune réglementation n'impose à l'acquéreur d'un bien immobilier de se faire connaître auprès de sa nouvelle commune.

Une information qu'aimerait pourtant connaître certaines communes pour faciliter la tenue des registres municipaux et aider à mieux accueillir les nouveaux habitants.

C'est pourquoi il a été demandé au gouvernement s'il était possible de confier aux notaires la charge de transmettre cette information, à l'occasion des actes de vente qu'ils rédigent.

La réponse est négative et ce, pour plusieurs raisons :

  • aucune règle n'autorise les communes à tenir un fichier de recensement nominatif de sa population ;
  • une telle obligation pour les notaires n'apparaît pas utile et constitue, en outre, une dérogation excessive à leur secret professionnel ;
  • un nouvel acheteur immobilier n'est pas forcément un nouvel habitant et un nouvel habitant n'est pas forcément un acquéreur (location, par exemple).

Source : Réponse Ministérielle Brindeau, Assemblée Nationale, du 29 mars 2022, n° 43272

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04/04/2022

Allocation des travailleurs indépendants : des précisions

Afin d'améliorer l'activité professionnelle indépendante, le Gouvernement a pris de nombreuses mesures dans le cadre de la loi « Indépendants », notamment en ce qui concerne l'allocation des travailleurs indépendants (ATI). Ces nouvelles mesures sont aujourd'hui précisées. Que devez-vous savoir ?


Allocation des travailleurs indépendants : quoi de neuf ?

Pour rappel, depuis le 1er mars 2022, les travailleurs indépendants dont l'entreprise, qui n'était pas viable économiquement (attestation d'un tiers de confiance à l'appui), a cessé totalement et définitivement son activité, peuvent bénéficier de l'ATI (allocation des travailleurs indépendants).

Depuis le 1er avril 2022, il est prévu que le caractère non viable doit être attesté, dans un document comprenant certaines informations (numéro SIRET de l'entreprise, baisse du revenu d'activité exprimée en montant et en pourcentage, etc.), par un tiers de confiance désigné au choix par le travailleur, et qui peut être :

  • un expert-comptable ;
  • une personne habilitée d'un établissement du réseau consulaire du secteur d'activité dont relève le travailleur indépendant.

Notez qu'une copie de la déclaration de cessation d'activité doit être jointe à cette attestation lors du dépôt de la demande relative à l'ATI.

De plus, toujours concernant le caractère non viable de l'activité, il est désormais précisé que ce dernier correspond à une baisse d'au moins 30 % (appréciée dans certaines conditions) des revenus correspondant à l'activité non salariée déclarés par le travailleur indépendant au titre de l'impôt sur le revenu.

Pour les travailleurs indépendants dont l'activité est soumise au régime de l'impôt sur les sociétés, ce caractère « non viable » doit résulter d'une baisse de revenus d'au moins 30 % (appréciée dans certaines conditions) et d'une stabilité ou d'une baisse du résultat de la société sur la période retenue pour apprécier la baisse du revenu correspondant à l'activité non salariée.

Enfin, toujours depuis le 1er avril 2022, le montant de cette allocation forfaitaire est fixé à 26,30 € par jour, étant précisé que dans le cas où le montant forfaitaire est supérieur au montant moyen mensuel des revenus d'activité antérieurs, le montant de l'allocation est réduit en conséquence (sans pouvoir être inférieur à 19,73 € par jour).

Pour finir, notez que :

  • le calcul du montant moyen mensuel est précisé ;
  • les critères d'appréciation de la notion de revenus antérieurs sont définis.

Sources :

  • Décret n° 2022-450 du 30 mars 2022 relatif à l'allocation des travailleurs indépendants
  • Décret n° 2022-451 du 30 mars 2022 relatif au montant de l'allocation des travailleurs indépendants

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04/04/2022

Plan de résilience : une FAQ pour les pêcheurs

Les pêcheurs sont particulièrement impactés par la hausse du prix des carburants. A tel point que certains d'entre eux sont même contraints de rester à quai. Pour les soutenir, le gouvernement a mis en place un dispositif spécifique, explicité dans une FAQ...


Une FAQ sur la remise carburant pour les pêcheurs

Face à l'augmentation des prix du carburant, une compensation de 35 centimes d'euro par litre de carburant est octroyée aux pêcheurs pour la période du 17 mars 2022 au 31 juillet 2022.

Pour répondre aux interrogations des professionnels sur cette aide, le gouvernement a publié une foire aux questions (FAQ).

A titre d'exemple, cette FAQ précise que pour la période du 1er avril 2022 au 31 juillet 2022, l'aide de 35 centimes prend la forme :

  • d'une remise générale à la pompe de 15 centimes d'euro par litre de carburant, prise en charge par l'État ;
  • d'une aide spécifique au secteur de la pêche visant à compenser 20 centimes d'euro par litre de carburant, actuellement en cours de montage.

Source : Actualité du ministère de la Mer du 29 mars 2022

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04/04/2022

Coronavirus (COVID-19) et transport routier : du nouveau sur la formation continue obligatoire

Le Gouvernement vient une nouvelle fois d'adapter le programme et les modalités de mise en œuvre de la formation continue obligatoire (FCO) des conducteurs du transport routier, tant pour tenir compte de la crise sanitaire que de l'augmentation du prix des carburants. Revue de détails…


Formation des transporteurs : de nouvelles adaptations

Pour rappel, les conducteurs routiers doivent suivre une formation continue obligatoire (FCO) d'une durée de 35 heures tous les 5 ans, à partir de la date d'obtention de leur qualification initiale.

Le programme et les modalités de mise en œuvre de cette formation ont une nouvelle fois évolué.

Désormais, la durée du temps de conduite individuelle d'un stagiaire suivant la FCO, qui ne peut être inférieure à 1 heure, est ajustée selon ses besoins particuliers de formation, selon certaines conditions.

Cette durée peut être intégralement effectuée en recourant à un simulateur haut-de-gamme.

Par ailleurs, lors de la formation, une séquence d'apprentissage semi-autonome des stagiaires, sans face-à-face pédagogique constant avec le formateur, peut être organisée de la façon suivante :

  • la séquence est fractionnable et d'une durée maximale de 6 heures. Elle alterne des enseignements théoriques et des exercices d'application portant, selon les besoins particuliers de formation de chaque stagiaire, sur l'une, l'autre ou plusieurs des matières ;
  • un formateur supervise le déroulement de la séquence. Il organise des points d'avancement réguliers en face-à-face individuel avec chaque stagiaire, à raison d'un par heure au minimum.

Notez que ces dispositions s'appliquent jusqu'au 31 juillet 2022.

Source : Arrêté du 29 mars 2022 adaptant aux circonstances exceptionnelles liées à la sortie de crise sanitaire et à l'augmentation du prix des carburants le programme et les modalités de mise en œuvre de la formation continue obligatoire des conducteurs du transport routier de marchandises et de voyageurs

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04/04/2022

Coronavirus (COVID-19) : un accompagnement de la SACEM

Dans le cadre de la crise sanitaire, la SACEM se mobilise pour accompagner les établissements du secteur des Cafés-Hôtels-Restaurants (CHR). De quelle façon ?


Coronavirus (COVID-19) et entreprises du CHR : rapprochez-vous de la SACEM !

Au cours de l'année 2021, de nombreuses entreprises du secteur des cafés-hôtels-restaurants (CHR) ont été frappées par des mesures de fermeture administrative pour limiter la propagation de la Covid-19.

Durant ces périodes de fermeture, elles n'ont plus diffusé de titres musicaux. Pour autant, elles vont devoir payer leurs redevances à la SACEM (société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique).

Pour accompagner ces entreprises, la SACEM a, notamment, suspendu :

  • la facturation de droits d'auteur ;
  • les prélèvements automatisés sur compte bancaire ;
  • les contrats, pour la période de fermeture administrative imposée par le gouvernement pour toutes les exploitations permanentes qui diffusent de la musique de sonorisation ou d'ambiance (coiffeurs, cafés, etc.) ;
  • les pénalités pour non-paiement dans les délais.

Source : Réponse ministérielle Potterie du 29 mars 2022, Assemblée nationale, n°37898

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04/04/2022

Taxe sur les nuisances sonores aériennes : du changement au 1er avril 2022

Les modalités de calcul de la taxe sur les nuisances sonores aériennes sont aménagées. Au programme : une mise à jour des tarifs de la taxe, de la répartition des aéronefs dans les groupes acoustiques et des coefficients de modulation…


Des mises à jour techniques

La taxe sur les nuisances sonores aériennes est perçue par la direction générale de l'aviation civile (DGAC) au profit des exploitants d'aéroports, qu'ils soient publics ou privés, qui remplissent certaines conditions.

Elle est payée par les compagnies aériennes ou, à défaut, par les propriétaires des avions, pour les décollages d'aéronefs réalisés sur certains aéroports.

Ces aéroports sont classés en 3 groupes et le tarif de la taxe, à jour au 1er avril 2022, est différent selon l'aéroport concerné.

Le calcul du montant de cette taxe s'appuie, notamment :

  • sur le groupe acoustique (à jour au 1er avril 2022) auquel appartient l'avion ;
  • sur un coefficient de modulation (à jour au 1er avril 2022), propre à chaque groupe acoustique, qui tient compte de l'heure de décollage de l'avion.

Sources :

  • Arrêté du 24 mars 2022 modifiant le tarif de la taxe sur les nuisances sonores aériennes applicable sur chaque aérodrome mentionné aux articles 158 à 159 bis de l'annexe IV au code général des impôts
  • Arrêté du 21 mars 2022 relatif à la classification acoustique des aéronefs mentionnée à l'article L. 422-56 du code des impositions sur les biens et services à prendre en compte pour le calcul de la taxe sur les nuisances sonores aériennes
  • Arrêté du 24 mars 2022 pris pour l'application de l'article L. 422-56 du code des impositions sur les biens et services relatif aux coefficients de modulation entrant dans le calcul du montant de la taxe sur les nuisances sonores aériennes

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