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Bandeau général
25/11/2025

Nouveauté pour les DPE : une bonne nouvelle pour le chauffage électrique !

À partir du 1er janvier 2026, le chauffage électrique sera mieux noté dans les diagnostics de performance énergétique (DPE) et les audits énergétiques. Un ajustement du calcul qui sortira un certain nombre de logements de la catégorie « passoire thermique »…

1er janvier 2026 : une étiquette de performance énergétique favorable à l'électricité

850 000 : c'est le nombre de logements qui devraient sortir de la catégorie « passoire énergétique » grâce au nouveau coefficient de conversion de l'énergie finale en énergie primaire de l'électricité.

Pour rappel, ce facteur de conversion permet de prendre en compte la quantité d'énergie primaire, c'est-à-dire toute l'énergie utilisée pour produire l'électricité, la transporter, etc., nécessaire à produire l'énergie finale, c'est-à-dire celle consommée directement par l'utilisateur final.

Actuellement, pour l'électricité, ce coefficient est de 2,3, c'est-à-dire qu'on considère qu'il faut 2,3 kWh d'énergie primaire pour avoir 1 kWh d'énergie finale. À titre de comparaison, le gaz a un coefficient de 1, ce qui, de fait, lui donne un avantage dans le DPE par rapport à l'électricité.

Afin d'encourager l'installation de pompes à chaleur, à partir du 1er janvier 2026, les logements chauffés à l'électricité bénéficieront d'un coefficient plus avantageux de 1,9.

Concrètement, les DPE et les audits énergétiques, ces derniers n'étant obligatoires que pour les logements de classes G, F et E, établis à partir de cette date, devront intégrer ce nouveau coefficient.

Concernant les DPE et audits antérieurs calculés avec l'ancien coefficient, il sera possible de télécharger une attestation pour remplacer l'étiquette initiale.

Cette attestation actualisera l'étiquette de performance énergétique en appliquant le nouveau facteur de conversion, sans remettre en cause les données récoltées. Cette attestation sera disponible uniquement sur le site internet de l'Observatoire du diagnostic de performance énergétique et de l'audit énergétique.

Cette mise à jour sera gratuite et ne nécessitera pas l'intervention du diagnostiqueur. Notez qu'elle n'aura pas pour effet de dégrader l'étiquette d'un logement ou de modifier la date de validité du document.

Le téléchargement de cette attestation n'est pas obligatoire : un document non mis à jour restera parfaitement valable.

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25/11/2025

Direction des grandes entreprises : des compétences étendues

Le service chargé des grandes entreprises (DGE) de la Direction générale des Finances publiques (DGFIP) se voit encore confier de nouvelles compétences : lesquelles ?

DGE : le point sur ses compétences

Pour mémoire, la Direction des grandes entreprises (DGE) est un service de la Direction générale des Finances publiques (DGFIP) qui est chargé du recouvrement et du contrôle de tous les impôts, droits et taxes dus par :

  • les entreprises dont le chiffre d'affaires hors taxe ou le total de l'actif brut du bilan est supérieur ou égal à 400 M€ à la clôture de l'exercice ;
  • les entreprises de taille intermédiaire (ETI) ayant conclu un protocole de partenariat fiscal avec le service chargé de la DGE ;
  • les sociétés membres d'un groupe fiscal lorsque au moins une des sociétés qui le compose répond à l'une des conditions précédentes.

Ces dispositions viennent d'être aménagées. À compter du 1er janvier 2026, la compétence de la DGE est étendue :

  • aux sociétés mères ultimes qui entrent dans le champ de l'imposition minimale mondiale, situées en France, membres d'un groupe d'entreprises multinationales ou d'un groupe national répondant à un certain nombre de conditions, ainsi que les sociétés constitutives de ce même groupe qui déposent la déclaration d'informations au titre de l'impôt complémentaire ;
  • aux entreprises membres d'un groupe de consolidation du paiement de la TVA, y compris les entreprises non établies en France.

Sont également précisées les dates à partir desquelles les entités des groupes relevant de l'impôt mondial et les entreprises membres d'un groupe de consolidation du paiement de la TVA doivent souscrire leurs déclarations auprès de la DGE, ainsi que les dates de fin de rattachement à la DGE. 

Date de rattachement à la DGE

 

Début de rattachement

Fin de rattachement

Sociétés membres des groupes soumis à l'impôt mondial

À compter du 1er février de la 2e année suivant celle au cours de laquelle les sociétés relèvent du champ d'application de l'impôt mondial

Jusqu'au 31 janvier de la 4e année suivant celle au cours de laquelle les conditions de rattachement ne sont plus remplies 

Entreprises membres d'un groupe de consolidation du paiement de la TVA

À compter du 1er février de l'année suivant la formulation de l'option pour celle exercée du 1er janvier au 31 octobre inclus.

 

Ou, à compter du 1er février de la 2e année qui suit la formulation de l'option pour celle exercée après le 31 octobre. 

Après le 31 janvier de la 4e année suivant :

  • la clôture de l'exercice au cours duquel les conditions de rattachement ne sont plus remplies ;

  • la date à laquelle la dénonciation de l'option pour le groupe de consolidation de TVA a pris effet, sauf si les conditions de rattachement continuent d'être remplies ;

  • la date au cours de laquelle l'opération de fusion, de scission ou de confusion de patrimoine donne lieu à la réunion de toutes les parts sociales en une seule main. 

 

Notez qu'à compter du 1er janvier 2026, pour l'assujetti unique dans le cadre d'un groupe TVA, les déclarations doivent désormais être déposées auprès de la DGE à compter du 1erfévrier, et non plus du 1er janvier, de l'année suivant celle au cours de laquelle le représentant a été désigné.

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24/11/2025

Indice du climat des affaires dans les activités immobilières - Année 2025

Indice du climat des affaires dans les activités immobilières (référence 100 en 1976)

Période

Indice

Janvier 2025

104

Février 2025

101

Mars 2025

100

Avril 2025

103

Mai 2025

104

Juin 2025

101

Juillet 2025

99

Août 2025

96

Septembre 2025

94

Octobre 2025

97

Novembre 2025

94

Décembre 2025

 


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24/11/2025

Indice du climat des affaires dans l'information-communication - Année 2025

Indice du climat des affaires dans l'information-communication (référence 100 en 1976)

Période

Indice

Janvier 2025

94

Février 2025

96

Mars 2025

97

Avril 2025

100

Mai 2025

96

Juin 2025

95

Juillet 2025

94

Août 2025

92

Septembre 2025

100

Octobre 2025

96

Novembre 2025

98

Décembre 2025

 


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24/11/2025

Indice du climat des affaires dans les services administratifs et de soutien - Année 2025

Indice du climat des affaires dans les services administratifs et de soutien (référence 100 en 1976)

Période

Indice

Janvier 2025

97

Février 2025

90

Mars 2025

92

Avril 2025

88

Mai 2025

88

Juin 2025

92

Juillet 2025

92

Août 2025

99

Septembre 2025

94

Octobre 2025

95

Novembre 2025

98

Décembre 2025

 


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24/11/2025

Indice du climat des affaires dans le BTP - Année 2025

Indice du climat des affaires dans le BTP (référence 100 en 1976)

Période

Indice

Janvier 2025

98

Février 2025

98

Mars 2025

98

Avril 2025

97

Mai 2025

101

Juin 2025

100

Juillet 2025

96

Août 2025

98

Septembre 2025

98

Octobre 2025

96

Novembre 2025

96

Décembre 2025

 


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24/11/2025

Indice du climat des affaires dans l'industrie manufacturière - Année 2025

Indice du climat des affaires dans l'industrie manufacturière (référence 100 en 1976)

Période

Indice

Janvier 2025

95

Février 2025

97

Mars 2025

96

Avril 2025

99

Mai 2025

97

Juin 2025

96

Juillet 2025

96

Août 2025

96

Septembre 2025

96

Octobre 2025

101

Novembre 2025

98

Décembre 2025

 


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24/11/2025

Indice du climat des affaires dans le transport routier de marchandises - Année 2025

Indice du climat des affaires dans le transport routier de marchandises (référence 100 en 1976)

Période

Indice

Janvier 2025

96

Février 2025

96

Mars 2025

97

Avril 2025

98

Mai 2025

101

Juin 2025

103

Juillet 2025

98

Août 2025

97

Septembre 2025

95

Octobre 2025

97

Novembre 2025

100

Décembre 2025

 


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24/11/2025

Assurés volontaires : une nouveauté à connaître

À compter du 1er décembre 2025, les assurés volontaires n'auront plus qu'un seul interlocuteur pour leurs cotisations : l'Urssaf Picardie. Ce transfert de gestion, pensé pour simplifier les démarches et renforcer l'accompagnement, s'opère automatiquement, mais nécessite quelques informations…

Assurés volontaires : changement d'Urssaf au 1er décembre 2025

À partir du 1er décembre 2025, la gestion du compte Urssaf des assurés volontaires évolue. C'est l'Urssaf Picardie qui devient l'interlocuteur unique pour toutes les démarches liées aux cotisations, paiement compris.

Ce transfert de compétences, qui vise à simplifier les démarches et à améliorer l'accompagnement proposé, n'implique aucune démarche supplémentaire. 

Pour les assurés s'acquittant des cotisations par prélèvements automatiques, le mandat reste valable et les prélèvements seront effectués par l'Urssaf Picardie dès le 1er décembre 2025.

Pour les assurés réglant leur cotisation par virement ou par chèque, il reste possible d'utiliser ces moyens de paiement. Un courrier envoyé début décembre communiquera :

  • les nouvelles coordonnées bancaires et l'adresse postale pour les paiements par virements et chèques ;
  • un nouveau numéro de compte « assuré volontaire ».

Notez que la caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) reste l'interlocuteur pour les démarches concernant l'adhésion ou la sortie du dispositif d'assurance volontaire.

Enfin, dans l'hypothèse où l'assuré volontaire est titulaire d'un autre compte Urssaf, ce dernier sera géré par l'Urssaf habituel.

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24/11/2025

Infections nosocomiales : qui doit indemniser ?

Il existe différents dispositifs pour indemniser les patients et les familles des dommages qui résultent des infections nosocomiales. En fonction de la gravité des conséquences subies, l'indemnisation n'est pas nécessairement à la charge du même organisme. Comme vient de le rappeler le juge dans une récente affaire…

Taux d'incapacité et consolidation d'un état : quelle articulation ?

Pour rappel, les patients et/ou leur famille peuvent obtenir une indemnisation en cas :

  • d'accident médical ;
  • d'affection iatrogène, c'est-à-dire de dommage de santé causé par un acte médical ;
  • d'infection nosocomiale, c'est-à-dire d'une infection contractée par le patient lors de son séjour dans un établissement de santé.

Schématiquement, l'indemnisation est versée, en fonction notamment des catégories, de la gravité du dommage subi par le patient et de la responsabilité du professionnel de santé, soit par le professionnel et son assureur, soit par l'ONIAM (Office national d'indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales).

Plus précisément, en ce qui concerne les infections nosocomiales, l'indemnisation est versée par l'établissement de santé et son assureur si le taux d'atteinte permanente à l'intégrité physique ou psychique est inférieur à 25 % ou par l'ONIAM si ce même taux est supérieur à 25 %.

Cependant, il peut y avoir des désaccords sur les modalités de calcul ou sur le résultat dont dépend la désignation de l'organisme qui devra indemniser le patient. C'est le sujet d'une affaire récente.

Dans le cadre d'un séjour à l'hôpital, un homme contracte une infection nosocomiale qui nécessite sa prise en charge médicale. Malheureusement, le patient décède, mais pour des raisons étrangères à l'infection.

Parce qu'il avait malgré tout contracté une infection nosocomiale, sa famille réclame à l'ONIAM une indemnisation, mais cet organisme refuse d'y donner suite : le patient étant décédé avant la consolidation de son état de santé, c'est à l'établissement médical qu'il revient d'indemniser la famille.

Un raisonnement que n'approuvent ni la famille, ni l'établissement médical : même si le décès est intervenu avant la consolidation de l'état de santé du patient, les médecins avaient déjà constaté un taux d'incapacité en lien direct avec l'infection nosocomiale de plus de 30 %, taux qui ne pouvait pas régresser selon eux.

Ce qui convainc le juge qui tranche en faveur de la famille et de l'hôpital : au regard de ce taux d'incapacité déjà préétabli, c'est bien l'ONIAM, autrement dit la solidarité nationale, qui doit indemniser la famille.

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24/11/2025

Dématérialisation de la procédure d'enregistrement : de nouveaux rebondissements !

Initialement prévue au plus tard le 1er juillet 2025, l'obligation de déclarer (et de payer) par voie dématérialisée les dons manuels, les successions ou encore les cessions de droits sociaux a finalement été annulée avant même d'entrer en vigueur. Mais ce n'est pas sans compter sur de nouveaux rebondissements : lesquels ?

Droits d'enregistrement : en route vers la dématérialisation ?

La loi de finances pour 2020 a confié au pouvoir réglementaire la mission de fixer, en matière de droits d'enregistrement, les déclarations dont la souscription devait être effectuée par voie électronique, ainsi que les impositions devant faire l'objet d'un télérèglement.

Dans ce cadre, un décret publié en 2020 a établi la liste des déclarations concernées par cette obligation de souscription et de paiement par voie dématérialisée qui concerne :

  • les déclarations de cessions de droits sociaux ;
  • les déclarations de dons manuels ;
  • les déclarations de dons de sommes d'argent ;
  • les déclarations de succession.

Il était prévu que la télédéclaration et le télépaiement deviendraient obligatoires au fur et à mesure de la mise en place des guichets de téléservice dédiés, et au plus tard au 1er juillet 2025.

Toutefois, ce décret de 2020 a été abrogé. En clair, le 23 juin 2025, il a été mis fin à l'obligation de souscrire et de payer, par voie dématérialisée, les opérations d'enregistrement susvisées.

Depuis cette date, l'obligation réglementaire de déposer et régler par voie électronique pour les déclarations visées (dons manuels, succession, cession de droits sociaux, etc.) n'est plus en vigueur.

Mais, dernier rebondissement en date, il vient d'être rétabli, de manière toutefois plus ciblée, l'obligation de souscrire certaines déclarations d'enregistrement par voie électronique.

Dans ce cadre, à compter du 1er janvier 2026, les déclarations de dons manuels révélés spontanément ainsi que les déclarations de dons familiaux de sommes d'argent exonérés à hauteur de 31 835 € devront être réalisées exclusivement en ligne, via un téléservice dédié mis à disposition par l'administration fiscale.

Le paiement des droits afférents devra également être effectué par télérèglement.

Par exception, la télédéclaration ne sera pas obligatoire pour :

  • les déclarations de dons soumis à imputation de l'impôt acquitté hors de France ;
  • les déclarations de dons soumis au dispositif Dutreil ;
  • les déclarations de dons de sommes d'argent exonérés sous condition d'affectation des sommes données ;
  • les déclarations des dons après exercice du droit de retour ;
  • les déclarations de dons soumis à droits réduits dans les départements d'outre-mer ;
  • les déclarations de dons relatifs à un patrimoine artistique national ;
  • les déclarations de dons au profit d'un descendant venant en représentation de son parent prédécédé ;
  • les déclarations de dons de sommes d'argent à un petit-neveu venant en représentation de son parent prédécédé ;
  • les déclarations de dons comprenant un rappel de dons antérieurs précédemment déclarés au format papier et ayant donné lieu au paiement de droits d'enregistrement ;
  • les déclarations de dons au profit d'une personne morale ;
  • les déclarations de dons au profit d'un mineur ou d'un majeur protégé dès lors que son représentant n'est pas le donateur.

Notez que les particuliers qui ne disposent pas d'un accès internet ou qui indiquent ne pas être en mesure d'utiliser le téléservice restent dispensés de l'obligation de télédéclaration et de télépaiement.

Pour finir, retenez qu'après l'abrogation du dispositif général en juin 2025, l'obligation de dématérialisation est recentrée sur un périmètre plus restreint.

À partir de 2026, seules les déclarations de dons manuels et de dons familiaux de sommes d'argent seront soumises à l'obligation de télédéclaration, les autres opérations d'enregistrement demeurant, pour l'heure, exclues du champ de la dématérialisation obligatoire.

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21/11/2025

Gestion locative : revalorisation de certains honoraires

Lors de la signature d'un nouveau bail, l'organisme chargé de la gestion locative peut mettre à la charge du nouveau locataire des honoraires de mise en location. Des honoraires soumis à un plafond qui n'avait pas évolué depuis 2014… Changement à venir…

Honoraires de remise en location : combien vont payer les locataires ?

Les professionnels à qui la gestion locative d'un bien est confiée peuvent, lors de la signature d'un nouveau bail, facturer au nouveau preneur des honoraires de mises en location.

Ces honoraires permettent de valoriser le travail effectué pour l'organisation des visites, la constitution du dossier et la rédaction du bail.

  • En 2014, des plafonds avaient été mis en place pour la fixation de ces honoraires. Ils se répartissaient comme suit : 12 € par m² de surface habitable en zone très tendue ;
  • 10 € par m² de surface habitable en zone tendue ;
  • 8 € par m² de surface habitable partout ailleurs.

Pour la réalisation de l'état des lieux, un plafond était également fixé à 3 € par m² de surface habitable.

Depuis 2014, ces montants n'ont jamais été revus, malgré les nombreuses demandes des professionnels du secteur.

Ces demandes sont finalement entendues puisqu'à compter du 1er janvier 2026, ces plafonds seront révisés.

Cette révision est calculée en appliquant à ces plafonds un coefficient égal à la progression de l'indice de référence des loyers (IRL) entre le 3e trimestre 2024 et le 3e trimestre 2025.

L'augmentation de l'IRL sur la période concernée étant de 0,87%, les nouveaux plafonds sont de :

  • 12,10 € par m² de surface habitable en zone très tendue ;
  • 10,09 € par m² de surface habitable en zone tendue ;
  • 8,07 € par m² de surface habitable partout ailleurs ;
  • 3,03 € par m² de surface habitable pour la réalisation d'état des lieux.

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