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02/06/2022

Quads et mini motos : à déclarer ?

Pour rappel, les propriétaires de quads et mini motos doivent déclarer leur véhicule auprès du ministère de l'Intérieur. Une obligation dont le contenu vient d'être modifié…


Déclaration des quads et mini motos : des précisions à connaître

Pour rappel, tout propriétaire d'un quad ou d'une mini moto est tenu de le déclarer dans les 15 jours suivant la date de son acquisition au ministère de l'Intérieur.

Le déclarant reçoit ensuite une attestation sécurisée de déclaration et un numéro unique d'identification du véhicule.

Ce numéro doit être gravé sur une partie inamovible du véhicule et figurer sur une plaque d'identification fixée à l'arrière sauf :

  • obstacle en raison des caractéristiques techniques du véhicule ;
  • en cas de pratique sportive.

Ne pas respecter cette obligation de déclaration est sanctionné par une amende de 750 €.

Des nouveautés viennent d'être publiées quant aux informations que le déclarant doit fournir sur lui-même, sur son véhicule, ainsi que sur les pièces justificatives à fournir et sur les documents recevables comme justificatifs d'identité et de domicile.

A titre d'exemple, il est précisé que lorsque le propriétaire est une personne physique, la déclaration comporte sa civilité, son nom de famille (et, le cas échéant, son nom d'usage), ses prénoms, sa date et son lieu de naissance, ses coordonnées postales (et, le cas échéant, ses coordonnées électroniques et téléphoniques).

Enfin, il est précisé que le propriétaire peut effectuer sa déclaration par voie électronique en se connectant sur le portail usager DICEM. Il peut soit utiliser le téléservice « FranceConnect » soit utiliser le formulaire de contact.

A défaut, le propriétaire peut établir sa déclaration sur un formulaire papier qu'il envoie à l'adresse suivante : ministère de l'intérieur, délégation à la sécurité routière, place Beauvau, 75800 Paris Cedex 8.

Source : Arrêté du 25 mai 2022 modifiant l'arrêté du 15 mai 2009 relatif aux modalités et au contenu de la déclaration concernant certains engins motorisés non autorisés à circuler sur la voie publique

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02/06/2022

Dons familiaux de sommes d'argent : fin d'un avantage fiscal…

Jusqu'au 30 juin 2021, certains dons familiaux de sommes d'argent bénéficiaient d'une exonération d'impôt, dans la limite de 100 000 € par donateur, dès lors que les sommes en question étaient affectées à la construction d'une résidence principale, par exemple. Ce dispositif temporaire va-t-il finalement être prolongé ?


Un dispositif temporaire qui restera temporaire !

Les dons de sommes d'argent consentis à un enfant, un petit-enfant ou un arrière-petit-enfant, entre le 15 juillet 2020 et le 30 juin 2021, bénéficiaient d'une exonération d'impôt, dans la limite de 100 000 € par donateur, si les sommes d'argent étaient affectées par le bénéficiaire, au plus tard le denier jour du 3ème mois suivant la remise des fonds :

  • à la souscription au capital initial ou aux augmentations de capital d'une petite entreprise, toutes conditions par ailleurs remplies ;
  • à des travaux énergétiques (sous conditions) ;
  • à la construction d'une résidence principale.

Ce dispositif, par essence temporaire, n'a pas vocation à être prolongé dans le temps, comme vient de le confirmer le gouvernement.

Source : Réponse ministérielle Vignon du 31 mai 2022, Assemblée nationale, n°36791

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02/06/2022

Vaccination contre la Covid-19 : une exonération d'impôt pour les infirmiers ?

Les infirmiers qui sont intervenus dans les centres de vaccination contre la Covid-19 peuvent-ils bénéficier d'une exonération d'impôt sur le revenu pour les rémunérations perçues à l'occasion de ces vacations ? Réponse du gouvernement…


Participation à la campagne vaccinale contre la Covid-19 : pas d'exonération d'impôt !

Depuis janvier 2021, de nombreux infirmiers libéraux, salariés ou retraités, ont participé à la campagne de vaccination contre la Covid-19 en intervenant dans les centres de vaccination, sur leur temps de repos.

A cette occasion, ils ont perçu une rémunération… imposable.

Interrogé sur la possibilité de créer une exonération d'impôt sur le revenu pour ce type de rémunération, le gouvernement répond par la négative et ce, principalement pour 2 raisons.

Tout d'abord, au regard de la progressivité de l'impôt sur le revenu, cette exonération profiterait, en réalité, aux personnes titulaires des plus hauts revenus.

Ensuite, la mise en place d'un tel dispositif viendrait fragiliser le principe d'égalité devant les charges publiques, qui implique que les contribuables, en fonction de leur niveau de revenus, participent de manière égale aux charges communes.

Pour finir, le gouvernement rappelle avoir adopté plusieurs mesures, ces dernières années, pour favoriser le pouvoir d'achat :

  • fixation du taux de la contribution sociale généralisée (CSG) à 6,6 % pour les pensions de retraite et d'invalidité les plus modestes ;
  • suppression généralisée de la taxe d'habitation sur la résidence principale dès 2023 ;
  • Ségur de la santé.

Source : Réponse ministérielle Le Gac du 31 mai 2022, Assemblée nationale, n°41594

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02/06/2022

Indice des prix des travaux d'entretien-amélioration de logements - Année 2022


Indice des prix des travaux d'entretien-amélioration de logements

Année 2022

Indice des prix des travaux d'entretien-amélioration de logements (IPEA) : référence 100 en 2015

Période

Indice

Variation trimestrielle

Variation sur 1 an

4e trimestre 2022

 123,8 

 + 1,6 % 

 + 9,8 % 

3e trimestre 2022

 121,7 

 + 1,9 % 

 + 9,9 % 

2e trimestre 2022

118,8

 + 2,3 % 

 + 8,7 % 

1er trimestre 2022

116,1

+ 2,9 %

+ 8,3 %


Source :

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02/06/2022

Indice des prix de production des services - Année 2022

Indice des prix de production des services

Année 2022

Indice des prix de production des services (référence 100 en 2015)

Période

Indice

Variation trimestrielle

Variation annuelle

4e trimestre 2022

 111,5 

 - 0,8 % 

 + 3,5 % 

3e trimestre 2022

 112,5 

 + 1,4 % 

 + 4,9 % 

2e trimestre 2022

110,8

+ 2,2 %

 + 5,0 % 

1er trimestre 2022

108,3

+ 0,6 %

+ 3,5 %


Source :
 www.insee.fr (indicateurs de conjonctures)

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01/06/2022

Streaming et rémunération des artistes-interprètes : un accord ?

Pour assurer une meilleure répartition des revenus générés par l'exploitation des musiques via les plateformes en ligne et ainsi, garantir une juste rémunération des artistes et producteurs, un accord vient d'être signé. Que prévoit-il ?


Streaming et artistes-interprètes : vers une juste rémunération ?

La rémunération des artistes-interprètes dont les musiques sont diffusées sur internet (en streaming) a suscité de nombreuses interrogations, notamment en ce qui concerne la répartition des revenus générés par les plateformes et la juste rémunération de ces professionnels.

Dans ce contexte, et pour apporter des éléments de réponse, le gouvernement vient d'annoncer la signature d'un accord par les syndicats et les organisations représentant les producteurs de musique et les artistes-interprètes, afin de leur garantir une rémunération minimale dans le cadre du streaming.

Tout d'abord, notez que certaines mesures concernent les artistes-interprètes touchant des redevances proportionnelles (calculées en fonction des recettes d'exploitation de l'œuvre) et prévoient :

  • des taux de royalties ne pouvant pas être inférieurs à 10 %. Ces taux seront calculés en fonction d'une assiette prenant en compte les différents modèles économiques de production ;
  • un droit à percevoir systématiquement une avance minimale versée par le producteur pouvant aller jusqu'à 1000 € bruts ;
  • un principe de bonification des taux de redevances en cas de succès important ;
  • etc.

En outre, les musiciens rémunérés au cachet devront percevoir une somme forfaitaire dans le cadre de l'exploitation de leurs œuvres sur les plateformes de streaming, ainsi qu'une rémunération supplémentaire dès que certains niveaux de succès sont atteints (déterminés par l'accord en fonction du nombre d'écoutes).

Vous pouvez consulter l'intégralité de l'accord ici.

Source : Communiqué de presse du ministère de la culture du 16 mai 2022

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01/06/2022

Indemnité transactionnelle : forcément un élément de la rémunération ?

Il peut arriver qu'en employeur cause un préjudice aux salariés et doive les indemniser en conséquence. Mais quelle est la nature de cette indemnité « transactionnelle » ? Entre-t-elle dans le champ de la rémunération ? Doit-elle être soumise à cotisations sociales ? Réponse du juge.


Indemnité transactionnelle = cotisations sociales ?

Pour rappel, toutes les sommes versées aux salariés en contrepartie ou à l'occasion du travail sont considérées comme des rémunérations et entrent donc dans le calcul des cotisations sociales dont doit s'acquitter l'employeur.

Toutefois, cette règle n'est pas valable en cas d'indemnisation du préjudice d'un salarié.

C'est notamment ce qu'a fait valoir un employeur qui a été amené, dans une récente affaire, à verser une indemnité transactionnelle à certains salariés, dans le but de clore un litige relatif au non-respect de ses obligations en matière de santé et de repos.

Une indemnité qui a occasionné un redressement de l'Urssaf, qui a estimé qu'il s'agissait là d'un élément de rémunération à inclure dans l'assiette des cotisations sociales.

Un avis que ne partage pas le juge pour qui cette indemnité avait pour objectif d'indemniser le préjudice que ces salariés avaient subi en raison du manquement de l'employeur.

Dès lors, cette indemnité transactionnelle n'est pas assimilable à un élément de rémunération et n'entre donc pas dans l'assiette des cotisations sociales.

Source : Arrêt de la Cour de cassation, 2ème chambre civile, du 17 février 2022, n°20-19516

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01/06/2022

Entreprises des industries culturelles et créatives : création de Cultur'Export

Dans le cadre du plan France 2030, Bpifrance vient de créer un nouveau programme de développement : Cultur'Export. Qui peut en bénéficier ? Que contient le programme ?


Cultur'Export : un soutien de Bpifrance pendant 1 an

Bpifrance a créé un nouveau programme de soutien dédié aux industries culturelles et créatives, « Cultur'Export », qui permet à ces entreprises d'être accompagnées pendant 1 an dans leur développement commercial aux Etats-Unis.

Plus précisément, les secteurs d'activités concernés par le programme sont les suivants : l'audiovisuel, le cinéma, le spectacle vivant, la musique, les musées et le patrimoine, les arts visuels, le design, l'architecture, les métiers d'art, le jeu vidéo, le livre et la presse, ainsi que les secteurs connexes de la mode et la communication pour le volet créatif de leur activité.

Dans le cadre du programme, l'entreprise va :

  • bénéficier de 70 heures d'accompagnement et coaching individuel par des experts pour structurer la campagne commerciale dans le pays ;
  • bénéficier de 4 « workshops » collectifs de 2 jours pour pouvoir échanger avec d'autres entrepreneurs ;
  • pouvoir tester son offre commerciale sur le marché américain lors d'une première mission sur place et confirmer sa stratégie de développement lors d'un deuxième déplacement.

Enfin, l'entrepreneur pourra participer à des évènements de « networking » pour se connecter à l'écosystème local et échanger avec des partenaires locaux.

Les entreprises qui sont intéressées par le programme peuvent candidater ici jusqu'au 4 juillet 2022.

Source : Actualité de Bpifrance du 20 mai 2022

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01/06/2022

Prêts Garantis France Num : c'est fini ?

Lancée en décembre 2020, la Garantie de prêt France Num, destinée à financer la transformation numérique des TPE/PME, doit prendre fin en juin 2022. Va-t-elle être prolongée ?


Prolongation de la Garantie de prêt France Num jusqu'en décembre 2023

Pour rappel, la Garantie de prêt France Num a pour but de faciliter l'accès au crédit bancaire aux TPE/PME qui souhaitent engager un projet de numérisation de leur activité.

Elle permet de couvrir à 80 % l'exposition au risque des banques qui financent les TPE/PME dans leurs investissements matériels et immatériels (jusqu'à 50 000 €).

Les entreprises éligibles sont celles de moins de 50 salariés, quel que soit leur secteur d'activité, sous réserve qu'elles aient une existence légale et fiscale en France depuis au moins 3 ans.

Le coût de la garantie est de 0,70 % du montant du prêt. Par exemple, pour un prêt de 10 000 €, la garantie coûtera 70 €.

Devant prendre fin le 30 juin 2022, ce dispositif est finalement prolongé jusqu'au 31 décembre 2023.

Source : Actualité de Bpifrance du 18 mai 2022

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01/06/2022

Congés payés : qui ne dit mot consent ?

Un salarié, qui a pris une journée de congé payé sans avoir obtenu l'autorisation préalable de son employeur, est sanctionné par un avertissement.

Avertissement qu'il conteste, rappelant qu'il avait bien formulé oralement une demande préalable de congé pour ce jour-là, d'autant qu'aucune procédure interne n'impose un accord exprès préalable de l'employeur, qui n'a d'ailleurs pas répondu à sa demande d'absence.

Pour le salarié, sa demande a donc été tacitement acceptée...

A tort ou à raison ?
La réponse n'est pas toujours celle que l'on croit...
La bonne réponse est...
A raison
Par principe, l'autorisation de l'employeur à la prise de congés payés par un salarié peut être tacite s'il n'existe pas de consigne dans l'entreprise exigeant son accord préalable exprès.

Ici, l'entreprise ne justifiait d'aucune consigne imposant la nécessité d'obtenir un accord exprès préalable à la prise de congé et l'employeur n'avait pas expressément formulé de refus.

Par conséquent, son silence vaut acceptation de cette demande de congé payé formulée par le salarié. Ainsi, il ne pouvait pas notifier un avertissement à son encontre.
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31/05/2022

Les fortes chaleurs peuvent entraîner des conséquences graves sur la santé des travailleurs. A cet égard, le gouvernement est venu rappeler les obligations auxquelles sont tenus les employeurs et, également, émettre des recommandations pour les salariés.


Gestion des fortes chaleurs : obligations et recommandations

Afin de préserver la santé des travailleurs en période de fortes chaleurs, l'employeur doit notamment prendre en compte les risques liés aux ambiances thermiques, renouveler l'air régulièrement pour éviter les élévations exagérées de température dans les locaux de travail fermés où les travailleurs sont appelés à séjourner, et mettre à disposition de l'eau potable et fraîche.

Des mesures spécifiques doivent également être mises en œuvre lorsque les salariés travaillent en extérieur. Ainsi, l'employeur doit, par exemple :

  • mettre à la disposition des travailleurs un local de repos adapté aux conditions climatique ;
  • aménager le chantier de manière à permettre l'organisation de pauses dans des conditions de sécurité équivalentes ;
  • ou encore, sur les chantiers, mettre à la disposition des travailleurs au moins 3 litres d'eau potable et fraîche au minimum par personne et par jour.

De leur côté, les salariés sont incités à boire régulièrement, à porter des vêtements légers qui permettent l'évaporation de la sueur, amples, et de couleur claire si le travail est à l'extérieur, à signaler à l'employeur si les vêtements et équipements de protection individuelle sont sources d'une gène supplémentaire, etc.

 

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{TITLE-PASSERELLE} Travail et fortes chaleurs : quelles obligations ?CONTENT-PASSERELLE}

Les fortes chaleurs peuvent entraîner des conséquences graves sur la santé des travailleurs. A cet égard, le gouvernement est venu rappeler les obligations auxquelles sont tenus les employeurs et, également, émettre des recommandations pour les salariés.


Gestion des fortes chaleurs : obligations et recommandations

Afin de préserver la santé des travailleurs en période de fortes chaleurs, l'employeur doit notamment prendre en compte les risques liés aux ambiances thermiques, renouveler l'air régulièrement pour éviter les élévations exagérées de température dans les locaux de travail fermés où les travailleurs sont appelés à séjourner, et mettre à disposition de l'eau potable et fraîche.

Des mesures spécifiques doivent également être mises en œuvre lorsque les salariés travaillent en extérieur. Ainsi, l'employeur doit, par exemple :

  • mettre à la disposition des travailleurs un local de repos adapté aux conditions climatique ;
  • aménager le chantier de manière à permettre l'organisation de pauses dans des conditions de sécurité équivalentes ;
  • ou encore, sur les chantiers, mettre à la disposition des travailleurs au moins 3 litres d'eau potable et fraîche au minimum par personne et par jour.

De leur côté, les salariés sont incités à boire régulièrement, à porter des vêtements légers qui permettent l'évaporation de la sueur, amples, et de couleur claire si le travail est à l'extérieur, à signaler à l'employeur si les vêtements et équipements de protection individuelle sont sources d'une gène supplémentaire, etc.

Source : Actualité du 18 mai 2022 du service public "Travail par fortes chaleurs : quelles précautions pour limiter les risques ?"

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31/05/2022

Professionnels : appel à favoriser le virement instantané

Les professionnels peuvent utiliser plusieurs modes de paiement : les espèces, les chèques, la carte bancaire, etc. Le Comité national des paiements scripturaux les appelle à en favoriser un en particulier : le virement instantané. Pourquoi ?


Accélérer les échanges économiques via le virement instantané

Les instances européennes et nationales considèrent que le virement instantané est un axe de développement important, notamment dans le cadre de l'essor de la numérisation des échanges économiques.

C'est pourquoi le Comité national des paiements scripturaux (CNPS) appelle les professionnels à recourir plus souvent à ce mode de paiement.

A titre d'exemple, il explique que le virement instantané peut être utilisé en décaissement pour améliorer l'expérience client, en particulier dans les situations d'urgence (remboursement, assurance, etc.). Il permet aussi de fluidifier la gestion de trésorerie des entreprises fonctionnant à flux tendus, pour le versement des salaires ou le règlement des fournisseurs.

Pour permettre aux professionnels de mieux comprendre les avantages et les opportunités de ce mode de paiement, il a également lancé une campagne de communication (vidéos, témoignages, etc.), consultable ici.

Source : Actualité de la Banque de France du 19 avril 2022

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