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24/06/2022

Association : fichiers de donateurs ou de contacts = RGPD !

Les associations possèdent des fichiers de donateurs ou de contacts. Lorsqu'elles les transmettent, elles sont tenues de respecter des obligations pour protéger les données personnelles qu'ils contiennent. Lesquelles ?


Association et RGPD : une protection différente selon le type de prospection

Une association qui transmet des fichiers de donateurs ou de contacts est tenue de respecter le règlement général sur la protection des données (RGPD) en raison des données personnelles qu'ils contiennent.

Les mesures à prendre vont différer selon que le destinataire des fichiers est :

  • une association : puisqu'il s'agit de prospection caritative, la personne dont les données sont transférées doit en être préalablement informée et peut s'y opposer simplement et gratuitement ;
  • ou une société commerciale : puisqu'il s'agit de prospection commerciale, la personne dont les données sont transférées doit en être informée et doit y consentir préalablement.

Source : Actualité de la Cnil du 20 juin 2022

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24/06/2022

Association de défense des consommateurs : sans frontière ?

Une association agréée par un préfet de département pour défendre les consommateurs a-t-elle un intérêt à agir en justice au niveau du seul département ou peut-elle également agir au niveau national ? Réponse…


Association : un intérêt à agir national

Une association de défense des consommateurs agréée par le préfet du département de l'Essonne engage une action contre des constructeurs implantés dans la région lyonnaise qui recourent, selon elle, à des clauses abusives.

« Impossible », estiment ces constructeurs, pour qui l'association ne peut agir qu'au niveau de son département d'agrément, à savoir l'Essonne.

« Possible », répond l'association : ayant pour objet statutaire d'assurer la défense et la représentation des intérêts généraux de toutes les familles, en particulier en leurs qualités de consommatrices, sans limite au territoire du département dans lequel elle a reçu son agrément, elle peut donc agir contre les constructeurs situés dans un autre département.

Ce que confirme le juge : l'action de l'association contre les constructeurs est bel et bien recevable.

Source : Arrêt de la Cour de cassation, 1re chambre civile, du 15 juin 2022, n° 18-16968

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24/06/2022

Vente immobilière : quand le notaire commet une erreur...

Un notaire, dans le cadre d'un dossier de vente, a commis une erreur qui l'oblige à indemniser un client. Voici son histoire… à ne pas reproduire !


L'histoire d'un notaire qui manque à son obligation de diligence

Pour rappel, le droit de propriété se compose de la nue-propriété (c'est le droit de disposer du bien comme un propriétaire) et de l'usufruit (c'est le droit d'utiliser le bien en question et de percevoir les revenus qu'il peut produire, comme les revenus fonciers pour un bien immobilier mis en location par exemple).

Parfois, il arrive qu'une vente ne concerne qu'une partie du droit de propriété, par exemple l'usufruit. C'est justement d'une telle vente qu'un notaire a été chargé.

Dans le compromis de vente, il indique qu'une banque possède une créance hypothécaire dont il est nécessaire d'obtenir une mainlevée partielle pour la réalisation du projet de vente.

En clair, lorsque le propriétaire de l'immeuble l'a acheté, pour obtenir son prêt immobilier, il a accordé une garantie permettant à la banque de se faire rembourser prioritairement, en cas de défaillance de l'emprunteur.

Par la suite, le notaire demande à l'acquéreur de verser le prix de vente. Mais, la banque refusant finalement d'accorder cette mainlevée partielle de l'hypothèque, l'acquéreur est contraint de renoncer à son achat… Ce qu'il reproche au notaire : celui-ci aurait dû, selon lui, s'assurer auprès de la banque que la créance hypothécaire ne ferait pas obstacle à la réalisation de la vente.

Faute de l'avoir fait, le notaire a manqué à son obligation de diligence… ce qui justifie le versement d'une indemnité à l'acquéreur, tranche le juge.

Source : Arrêt de la Cour de cassation, 1re chambre civile, du 15 juin 2022, n° 20-20010

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24/06/2022

Hausse du prix de l'essence = baisse de taxes ?

Face à la hausse du prix de l'essence, le gouvernement envisage-t-il de revoir à la baisse le montant des taxes appliquées aux carburants ? Réponse…


Hausse du prix de l'essence = maintien des taxes

Depuis un an, le prix de l'essence en France a considérablement augmenté, notamment en raison de désaccords existants entre les pays membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) sur les quotas de production.

Dans ce contexte, interrogé sur une éventuelle révision à la baisse des taxes frappant le prix du carburant, le gouvernement vient de répondre par la négative.

Il rappelle que la fiscalité sur les carburants repose principalement sur la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE), qui est assise sur les volumes de carburant consommés, et sur laquelle la hausse du cours du pétrole n'a pas d'impact.

Par conséquent, aucune mesure d'ajustement de cette taxe n'est prévue, d'autant que la flambée des prix de l'énergie a déjà donné lieu à la revalorisation du chèque énergie.

Pour mémoire, ce dispositif prévoit, sous condition de ressources, l'octroi d'une aide aux ménages les moins aisés en vue du paiement de leurs factures d'énergie.

Source : Réponse ministérielle Tamarelle-Verhaeghe, Assemblée Nationale, n° 40805

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24/06/2022

C'est l'histoire d'un gérant… qui ne l'est pas vraiment…



C'est l'histoire d'un gérant… qui ne l'est pas vraiment…


Désireux de prendre sa retraite, un gérant vend les titres de sa société et bénéficie, à cette occasion, d'un abattement sur le gain réalisé et soumis à l'impôt. Un abattement que l'administration fiscale refuse de lui accorder…


« Pourquoi ? », s'interroge le gérant… Parce que pour bénéficier de cet avantage fiscal, le vendeur doit justifier qu'il a, dans les 5 ans précédant la vente de ses titres, occupé un poste de direction. Ce qui suppose ici d'avoir été dûment nommé « gérant » de la société, rappelle l'administration. Or, ce n'est pas le cas, constate-t-elle : il se trouve que le gérant nommé à ce poste est une autre personne. Une désignation purement formelle, selon le dirigeant qui affirme que, dans les faits, c'est bien lui qui assumait la direction effective de la société…


« Peu importe », tranche le juge qui valide le redressement fiscal : faute d'avoir été formellement désigné comme « gérant », le gérant « de fait » de la société ne peut pas bénéficier de l'abattement demandé.




Arrêt de la Cour administrative d'appel de Bordeaux, du 10 mai 2022, n° 19BX04959

La petite histoire du jour



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23/06/2022

Fourrière et véhicules « abandonnés » : du nouveau au 1er juillet 2022

Les véhicules considérés comme « abandonnés » en fourrière font l'objet de règles particulières, qui viennent d'être réaménagées. A quel(s) niveau(x) exactement ?


Véhicules « abandonnés » : les critères évoluent

Pour rappel, la règlementation prévoit que les véhicules mis en fourrière que leurs propriétaires ne sont pas venus récupérer à l'issue d'un délai de 15 jours sont considérés comme « abandonnés » et laissés en fourrière en vue de leur vente ultérieure ou de leur destruction.

Le délai à l'issue duquel le véhicule est considéré comme « abandonné », puis détruit, est réduit à 10 jours pour les véhicules de faible valeur marchande, parmi lesquels figurent :

  • tout véhicule de genre VP (pour véhicule particulier) âgé de plus de 13 ans et de moins de 30 ans, à l'exception toutefois des véhicules de marque premium ou de carrosserie cabriolet ou dont les 2 essieux sont des essieux moteurs (dits 4X4) ;
  • tout véhicule de genre CTTE (véhicule utilitaire) âgé de plus de 12 ans.

Ces 2 dispositions viennent d'être réaménagées, et prévoient désormais que ce délai de 10 jours est applicable à :

  • tout véhicule de genre VP âgé de plus de 12 ans (sans limitation d'âge maximal) à l'exception des seuls véhicules de marque premium ;
  • tout véhicule de genre CTTE âgé de plus de 10 ans.

Ces dispositions s'appliqueront à compter du 1er juillet 2022 aux seuls véhicules entrés en fourrière à compter de la même date.

Source : Arrêté du 10 juin 2022 portant modification de l'article A. 325-14 du code de la route

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23/06/2022

Agence de voyages : anticiper (et prévoir ?) les accidents !

Après s'être blessé au cours d'un voyage organisé aux Etats-Unis, un motard réclame des indemnités au voyagiste qui a organisé ce séjour. Ce que ce dernier conteste : au vu de l'expérience des motards participant au voyage, il ne voit pas pourquoi il serait responsable…


Agence de voyages : l'expérience ne suffit pas…

Au cours d'un circuit à moto organisé aux Etats-Unis par un voyagiste, un motard en heurte un autre et le blesse.

Le motard blessé réclame alors des indemnités au voyagiste… qui refuse de payer : il ne s'estime pas responsable de l'accident puisque celui-ci était « imprévisible ». Il rappelle, en effet, que les participants au voyage étaient tous expérimentés et que le motard responsable de la collision n'avait jamais eu d'accident.

« Un accident prévisible », conteste le motard blessé, puisque le voyagiste a justement exigé des participants qu'ils aient une certaine expérience.

Ce que confirme le juge : l'éventualité d'un accident était effectivement prévisible, ce qui explique que le voyagiste ait exigé des motards qu'ils soient expérimentés.

Dès lors, le voyagiste ne peut pas s'exonérer de sa responsabilité et doit indemniser le motard blessé.

Source : Arrêt de la Cour de cassation, 1re chambre civile, du 15 juin 2022, n° 19-10798

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23/06/2022

Fortes chaleurs : quelles précautions les professionnels doivent-ils prendre ?

Le gouvernement a émis des recommandations à destination de certains professionnels (agriculteurs, entreprises agroalimentaires, transporteurs, etc.) sur les précautions à prendre en cas de fortes chaleurs. Revue de détails.


Fortes chaleurs : les précautions pour les animaux d'élevage

Les professionnels ayant des animaux d'élevage doivent contrôler régulièrement les conditions d'hébergement des animaux et surveiller particulièrement tout signe de souffrance liée aux fortes chaleurs.

Ils doivent également veiller à bien hydrater les animaux en multipliant, par exemple, les points d'accès à une eau fraiche. La brumisation des animaux est aussi fortement recommandée.

Par ailleurs, le transport des animaux est restreint en période de fortes chaleurs. Ainsi, les déplacements entre 13h et 18h sont interdits pour les départements classés en vigilance orange et plus, sauf dérogations (véhicules avec aménagements spécifiques, etc.). Pour les transports de longue durée (plus de 8h), seuls ceux garantissant des conditions de température inférieure à 30°C sont autorisés.

Notez qu'en cas de contrôle, les principales vérifications porteront sur :

  • les systèmes de ventilation des véhicules permettant de maintenir la température à l'intérieur des compartiments entre 5°C et 30°C, avec une tolérance de 5°C en fonction des conditions climatiques ;
  • la présence de capteurs de température permettant au conducteur de contrôler en permanence les températures à l'intérieur des compartiments ;
  • la présence d'un système d'enregistrement de ces températures, dont les résultats doivent être tenus à disposition des contrôleurs.


Fortes chaleurs : les précautions dans les entreprises alimentaires

Les professionnels doivent limiter au strict minimum les étapes intermédiaires de stockage hors chaîne du froid et les transports.

Il faut également limiter les ouvertures des chambres froides.

Notez qu'une plateforme « Canicule info service », joignable au 0 800 06 66 66, informe les professionnels des mesures à prendre, tous les jours de 9h à 19h.


Fortes chaleurs : les précautions pour les professionnels agricoles

Outre le respect des obligations qui leur incombent en tant qu'employeur (adapter les horaires de travail, mettre à disposition de l'eau, etc.), les professionnels doivent être vigilants sur les risques suivants :

  • incendies de forêts : ne pas fumer, éviter d'utiliser du matériel pouvant provoquer des étincelles (scies à chaîne) et reporter les travaux agricoles qui peuvent l'être ;
  • transport de jerricans d'essence (plus facilement inflammable par forte chaleur) ;
  • intoxication avec des produits chimiques (plus facilement inhalés et absorbés par la peau).

Sources :

  • Communiqué de presse du ministère de l'Agriculture du 15 juin 2022
  • Communiqué de presse du ministère de l'Agriculture du 15 juin 2022

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23/06/2022

Indice du coût de la construction - Année 2022


Indice du coût de la construction

Année 2022

Indice du coût de la construction (ICC) des immeubles à usage d'habitation (référence 100 au 4e trimestre 1953).

1/ Année 2022

Période

Indice

Variation sur 1 an

Moyenne des 4 derniers trimestres

4e trimestre 2022

  

 

 

3e trimestre 2022

 2037 

+ 8,01 %

   1 959,25 

2e trimestre 2022

1966

+ 7,96 %

  1 921,50

1er trimestre 2022

1948

+ 6,92 %

1 885,25          



2/ Historique

Période

Indice

Variation sur 1 an

Moyenne des 4 derniers trimestres

4e trimestre 2021

1886

+ 5,07 %

1 853,75

3e trimestre 2021

1886

+ 6,86 %

1831,00

2e trimestre 2021

1821

+ 3,88 %

1800,75

1er trimestre 2021

1822

+ 2,94 %

1783,75

4e trimestre 2020

1795

+ 1,47 %

1770,75

3e trimestre 2020

1765

+ 1,09 %

1764,25

2e trimestre 2020

1753

+ 0,40 %

1759,50

1er trimestre 2020

1770

+ 2,43 %

1757,75

4e trimestre 2019

1769

+ 3,88 %

1747,25

3e trimestre 2019

1746

+ 0,75 %

1730,75

2e trimestre 2019

1746

+ 2,77 %

1727,50

1er trimestre 2019

1728

+ 3,41 %

1715,75

4e trimestre 2018

1703

+ 2,19 %

1701,50

3e trimestre 2018

1733

+ 3,77 %

1692,50

2e trimestre 2018

1699

+ 2,10 %

1676,75

1er trimestre 2018

1671

+ 1,27 %

1668,00

4e trimestre 2017

1667

+ 1,34 %

1662,75

3e trimestre 2017

1670

+ 1,64 %

1657,25

2e trimestre 2017

1664

+ 2,59 %

1650,50

1er trimestre 2017

1650

+ 2,17 %

1640,00

4e trimestre 2016

1645

+ 0,98 %

1631,25

3e trimestre 2016

1643

+ 2,18%

1627,25

2e trimestre 2016

1622

+ 0,50 %

1618,50

1er trimestre 2016

1615

- 1,04 %

1616,50

4e trimestre 2015

1629

+ 0,25 %

1620,75

3e trimestre 2015

1608

-1,17 %

1619,75

2e trimestre 2015

1614

- 0,43 %

1624,50

1er trimestre 2015

1632

- 0,97 %

1626,25

4e trimestre 2014

1625

+ 0,62 %

1630,25

3e trimestre 2014

1627

+ 0,93 %

1627,75

2e trimestre 2014

1621

- 0,98 %

1624,00

1er trimestre 2014

1648

+ 0,12 %

1628,00

4e trimestre 2013

1615

- 1,46 %

1627,50

3e trimestre 2013

1612

- 2,18 %

1633,50

2e trimestre 2013

1637

- 1,74 %

1642,50

1er trimestre 2013

1646

+ 1,79 %

1649,75

4e trimestre 2012

1639

+ 0,06 %

1642,50

3e trimestre 2012

1648

+ 1,48 %

1642,25

2e trimestre 2012

1666

+ 4,58 %

1636,25

1er trimestre 2012

1617

+ 4,05 %

1618,00

4e trimestre 2011

1638

+ 6,85 %

1602,25

3e trimestre 2011

1624

+ 6,84 %

1576,00

2e trimestre 2011

1593

+ 5,01 %

1550,00

1er trimestre 2011

1554

+ 3,05 %

1531,00

4e trimestre 2010

1533

+ 1,73 %

1519,50

3e trimestre 2010

1520

+ 1,20 %

1513,00

2e trimestre 2010

1517

+ 1,27 %

1508,50

1er trimestre 2010

1508

+ 0,33 %

1503,75

4e trimestre 2009

1507

- 1,05 %

1502,50

3e trimestre 2009

1502

- 5,77 %

1506,50

2e trimestre 2009

1498

- 4,10 %

1529,50

1er trimestre 2009

1503

+ 0,40 %

1545,50

4e trimestre 2008

1523

+ 3,32 %

1544,00

3e trimestre 2008

1594

+ 10,46 %

1531,75

2e trimestre 2008

1562

+ 8,85 %

1494,00

1er trimestre 2008

1497

+ 8,09 %

1462,25

4e trimestre 2007

1474

+ 4,84 %

1434,25

3e trimestre 2007

1443

+ 4,49 %

1417,25

2e trimestre 2007

1435

+ 5,05 %

1401,75

1er trimestre 2007

1385

+ 1,69 %

1384,50

4e trimestre 2006

1406

+ 5,56 %

1378,75

3e trimestre 2006

1381

+ 8,06 %

1360,25

2e trimestre 2006

1366

+ 7,04 %

1334,50

1er trimestre 2006

1362

+ 7,24 %

1312,00

4e trimestre 2005

1332

+ 4,96 %

1289,00

3e trimestre 2005

1278

+ 0,47 %

1273,25

2e trimestre 2005

1276

+ 0,71 %

1271,75

1er trimestre 2005

1270

+ 3,67 %

1269,50

4e trimestre 2004

1269

+ 4,53 %

1258,25

3e trimestre 2004

1272

+ 5,74 %

1244,50

2e trimestre 2004

1267

+ 5,41 %

1227,25

1er trimestre 2004

1225

+ 3,55 %

1211,00


Source :

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23/06/2022

Indice des loyers commerciaux - Année 2022


Indice des loyers commerciaux

Année 2022

L'indice trimestriel des loyers commerciaux (ILC) est constitué de la somme pondérée d'indices représentatifs de l'évolution des prix à la consommation, de celle des prix de la construction neuve et de celle du chiffre d'affaires du commerce de détail.

1/ Année 2022

Période

Indice

Variation sur 1 an

4e trimestre 2022

 

 

3e trimestre 2022

 126,13 

 + 5,37 % 

2e trimestre 2022

 123,65 

 + 4,43 % 

1er trimestre 2022

120,61

+ 3,32 %



2/ Historique

Période

Indice

Variation sur 1 an

4e trimestre 2021

118,59

+ 2,42 %

3e trimestre 2021

119,70

+ 3,46 %

2e trimestre 2021

118,41

+ 2,59 %

1er trimestre 2021

116,73

+ 0,43 %

4e trimestre 2020

115,79

- 0,32 %

3e trimestre 2020

115,70

+ 0,09 %

2e trimestre 2020

115,42

+ 0,18 %

1er trimestre 2020

116,23

+ 1,39 %

4e trimestre 2019

116,16

+ 1,84 %

3e trimestre 2019

115,60

+ 1,90 %

2e trimestre 2019

115,21

+ 2,33 %

1er trimestre 2019

114,64

+ 2,48 %

4e trimestre 2018

114,06

+ 2,45 %

3e trimestre 2018

113,45

+ 2,41 %

2e trimestre 2018

112,59

+ 2,35 %

1er trimestre 2018

111,87

+ 2,20 %

4e trimestre 2017

111,33

+ 2,22 %

3e trimestre 2017

110,78

+ 2,04 %

2e trimestre 2017

110,00

+ 1,48 %

1er trimestre 2017

109,46

+ 0,98 %

4e trimestre 2016

108,91

+ 0,46 %

3e trimestre 2016

108,56

+ 0,17 %

2e trimestre 2016

108,40

+ 0,02 %

1er trimestre 2016

108,40

+ 0,07 %

4e trimestre 2015

108,41

- 0,06 %

3e trimestre 2015

108,38

- 0,13 %

2e trimestre 2015

108,38

- 0,11 %

1er trimestre 2015

108,32

- 0,17 %

4e trimestre 2014

108,47

+ 0,01 %

3e trimestre 2014

108,52

+ 0,05 %

2e trimestre 2014

108,50

+ 0,00 %

1er trimestre 2014

108,50

- 0,03 %

4e trimestre 2013

108,46

+ 0,11 %

3e trimestre 2013

108,47

+ 0,28 %

2e trimestre 2013

108,50

+ 0,79 %

1er trimestre 2013

108,53

+ 1,42 %

4e trimestre 2012

108,34

+ 1,94 %

3e trimestre 2012

108,17

+ 2,72 %

2e trimestre 2012

107,65

+ 3,07 %

1er trimestre 2012

107,01

+ 3,25 %

4e trimestre 2011

106,28

+ 3,26 %

3e trimestre 2011

105,31

+ 2,88 %

2e trimestre 2011

104,44

+ 2,56 %

1er trimestre 2011

103,64

+ 2,25 %

4e trimestre 2010

102,92

+ 1,83 %

3e trimestre 2010

102,36

+ 1,14 %

2e trimestre 2010

101,83

- 0,22 %

1er trimestre 2010

101,36

- 1,33 %

4e trimestre 2009

101,07

- 1,88 %

3e trimestre 2009

101,21

- 1,22 %

2e trimestre 2009

102,05

+ 0,84 %

1er trimestre 2009

102,73

+ 2,73 %


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23/06/2022

Indice des loyers des activités tertiaires - Année 2022


Indice des loyers des activités tertiaires

Année 2022

L'indice des loyers des activités tertiaires (ILAT) est constitué de la somme pondérée d'indices représentatifs du niveau des prix à la consommation, de celui des prix de la construction neuve et de celui du produit intérieur brut en valeur.

1/ Année 2022

Période

Indice

Variation sur 1 an

4e trimestre 2022

 

 

3e trimestre 2022

 124,53 

 + 5,88 % 

2e trimestre 2022

122,65

 + 5,32 % 

1er trimestre 2022

120,73

+ 5,10 %



2/ Historique

Période

Indice

Variation sur 1 an

4e trimestre 2021

118,97

+ 4,30 %

3e trimestre 2021

117,61

+ 2,96 %

2e trimestre 2021

116,46

+ 1,86 %

1er trimestre 2021

114,87

- 0,57 %

4e trimestre 2020

114,06

-1,19 %

3e trimestre 2020

114,23

- 0,54 %

2e trimestre 2020

114,33

- 0,12 %

1er trimestre 2020

115,53

+ 1,45 %

4e trimestre 2019

115,43

+ 1,88 %

3e trimestre 2019

114,85

+ 1,87 %

2e trimestre 2019

114,47

+ 2,20 %

1er trimestre 2019

113,88

+ 2,18 %

4e trimestre 2018

113,30

+ 2,18 %

3e trimestre 2018

112,74

+ 2,16 %

2e trimestre 2018

112,01

+ 1,93 %

1er trimestre 2018

111,45

+ 1,86 %

4e trimestre 2017

110,88

+ 1,78 %

3e trimestre 2017

110,36

+ 1,54 %

2e trimestre 2017

109,89

+ 1,37 %

1er trimestre 2017

109,41

+ 1,12 %

4e trimestre 2016

108,94

+ 0,72 %

3e trimestre 2016

108,69

+ 0,66 %

2e trimestre 2016

108,41

+ 0,51 %

1er trimestre 2016

108,20

+ 0,47 %

4e trimestre 2015

108,16

+ 0,33 %

3e trimestre 2015

107,98

+ 0,33 %

2e trimestre 2015

107,86

+ 0,39 %

1er trimestre 2015

107,69

+ 0,29 %

4e trimestre 2014

107,80

+ 0,50 %

3e trimestre 2014

107,62

+ 0,43 %

2e trimestre 2014

107,44

+ 0,24 %

1er trimestre 2014

107,38

+ 0,27 %

4e trimestre 2013

107,26

+ 0,50 %

3e trimestre 2013

107,16

+ 0,66 %

2e trimestre 2013

107,18

+ 1,11 %

1er trimestre 2013

107,09

+ 1,69 %

4e trimestre 2012

106,73

+ 2,04 %

3e trimestre 2012

106,46

+ 2,72 %

2e trimestre 2012

106,00

+ 3,17 %

1er trimestre 2012

105,31

+ 3,29 %

4e trimestre 2011

104,60

+ 3,25 %

3e trimestre 2011

103,64

+ 2,78 %

2e trimestre 2011

102,74

+ 2,32 %

1er trimestre 2011

101,96

+ 1,96 %

4e trimestre 2010

101,31

+ 1,55 %

3e trimestre 2010

100,84

+ 0,98 %

2e trimestre 2010

100,41

- 0,08 %

1er trimestre 2010

100,00

- 0,96 %

4e trimestre 2009

99,76

- 1,26 %

3e trimestre 2009

99,86

- 0,73 %

2e trimestre 2009

100,49

+ 1,07 %

1er trimestre 2009

100,97

+ 2,70 %


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23/06/2022

Eleveurs : comment vous protéger des ours bruns ?

En principe, il est interdit de perturber intentionnellement les ours bruns en France. Toutefois, il est possible de déroger à cette interdiction, sous réserve du respect de certaines conditions, qui viennent d'être modifiées. Tour d'horizon de ces modifications…


Des conditions adaptées au type d'effarouchement

Pour rappel, il est normalement interdit de perturber intentionnellement l'ours brun.

Toutefois, toutes conditions par ailleurs remplies, les éleveurs peuvent demander des dérogations préfectorales, dès lors qu'ils mettent en œuvre, de manière effective et proportionnée, des moyens de protection de leur troupeau.

Ces dérogations vont notamment concerner les effarouchements simples et renforcés, dont les modalités diffèrent.

Sachez que les mesures d'effarouchement renforcé sont interdites dans le parc national des Pyrénées tandis que celles d'effarouchement simple sont soumises à l'autorisation du directeur du parc, sous conditions.

  • Concernant l'effarouchement simple

Cet effarouchement est fait à l'aide de moyens olfactifs, mais également de moyens sonores et lumineux, dont vous pouvez retrouver la liste exhaustive ici, et ne peut être mis en œuvre que si certaines conditions sont réunies.

Pour pouvoir bénéficier de cette dérogation, les éleveurs doivent préciser dans leur demande l'identité des personnes qui seront chargées de l'effarouchement.

Précisons que cette dérogation délivrée par le préfet est limitée à la saison d'estive en cours et ne peut pas, dans tous les cas, dépasser 8 mois. De plus, l'effarouchement devra être effectué seulement à proximité du troupeau et si ce dernier est exposé à la prédation de l'ours brun, c'est-à-dire si des indices témoignent de la présence récente de l'ours à proximité.

Enfin, l'éleveur devra envoyer au préfet un compte-rendu concernant la réalisation de chaque opération d'effarouchement effectuée en détaillant les moyens mis en œuvre, le lieu, la date et les résultats obtenus :

  • avant le 30 novembre de chaque année ;
  • ou lors de la demande de dérogation en vue de réaliser un effarouchement renforcé.
  • Concernant l'effarouchement renforcé

Cet effarouchement se fait à l'aide de tirs non létaux et doit également faire l'objet d'une demande dérogatoire auprès du préfet. Là encore, la dérogation ne peut être accordée que si certaines conditions sont réunies, que vous pouvez retrouver ici.

Cette dérogation, qui ne peut également dépasser 8 mois (limitée à la saison d'estive en cours), peut être suspendue si le compte rendu relatif à l'effarouchement simple n'est pas adressé au préfet dans les 2 mois suivant l'opération (ou si certaines conditions cessent d'être remplies).

Notez que cet effarouchement peut être réalisé, dès lors qu'ils ont reçu une formation préalable dispensée par les agents de l'Office français de la biodiversité, par :

  • l'éleveur ou le berger ;
  • des lieutenants de louveterie ;
  • des chasseurs ;
  • des agents de l'Office français de la biodiversité.

Cette opération doit également donner lieu à un compte-rendu de la part de la personne l'ayant réalisée, détaillant le lieu, la date, le nombre d'ours observé, les moyens mis en œuvre, le comportement du troupeau et des ours.

Source : Arrêté du 20 juin 2022 relatif à la mise en place de mesures d'effarouchement de l'ours brun dans les Pyrénées pour prévenir les dommages aux troupeaux

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